les-crises.fr

Ce site n'est pas le site officiel.
C'est un blog automatisé qui réplique les articles automatiquement

“Droits-de-l’homme-au-Venezuela” : aux “sources” de la désinformation – Par Maurice Lemoine

Thursday 21 November 2019 at 06:30

Source : Le Grand Soir, Maurice Lemoine,

Journaliste et ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique, Maurice Lemoine (ici au Paraguay) couvre l’Amérique Latine depuis plus de quarante ans. Derniers ouvrages parus : “Chávez Presidente”, « Sur les eaux noires du fleuve », “Cinq cubains á Miami”, “Les enfants cachés du général Pinochet” et « Venezuela, chronique d’une déstabilisation«

Copie à (entre autres) :

médiateur du Monde

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/droits-de-lhomme-au-venezuela-aux-sources-de-la-desinformation-par-maurice-lemoine/


ADP : Le sabotage de radio Macron – Par Daniel Schneidermann

Thursday 21 November 2019 at 06:01

Source : Arrêt sur Images, Daniel Schneidermann, 15-11-2019

Vient toujours un moment, pour les titulaires de mandats publics, affectant la plus irréprochable neutralité, où il faut sortir du bois, et faire allégeance à celui qui vous a nommé. En termes triviaux, renvoyer l’ascenseur. Dans un mandat, ces occasions ne se présentent pas tous les jours. Elles marquent durablement une carrière. C’est ce genre d’occasion qu’a rencontré Sibyle Veil, présidente de Radio France, en décidant de refuser la diffusion des spots publicitaires des opposants à la privatisation de Aéroports de Paris, décision annoncée hier soir sur France Inter.

Jusqu’à présent, on pouvait, avec beaucoup de bonne volonté, mettre l’indifférence médiatique pour la campagne de soutien au Référendum d’Initiative Partagée sur le compte du désintérêt pour une question considérée comme secondaire, ou trop complexe, ou tout ce qu’on voudra. Mais voici, pour crever le mur du silence, que les parlementaires opposants produisent des spots de trente secondes. Qu’ils les financent eux-mêmes (à la hauteur, considérable, de 100 000 euros, à comparer aux 12 millions engloutis dans la promotion du “grand débat” du pouvoir, au printemps dernier). Radio France, qui diffuse en ce moment d’autres spots appelant les épargnants à investir dans la privatisation de la Française des Jeux, a fait savoir, sur ses propres antennes, qu’il refuserait les spots ADP. La société de Sibyle Veil, camarade de promotion (et de karaoké) d’Emmanuel Macron à l’ENA, se fonde sur l’article 37 de son cahier des charges : “les messages publicitaires ne doivent contenir aucun élément de nature à choquer les convictions politiques des auditeurs”. Mais quid des auditeurs choqués dans leurs convictions politiques par la privatisation de la Française des Jeux ?

Ce niet présente le triste avantage de clarifier de paysage. Avant-hier, invité par Frédéric Taddei, dans son émission de RT France (oui oui, Télé Poutine !), à un débat contradictoire sur la privatisation de ADP, au titre de mon livre Pouvoir Dire Stop, je soulignais ce paradoxe : cette émission était la première de son genre, -longue durée, contradictoire- sur une chaîne diffusée en France. Jusqu’à présent, pour justifier l’étouffement médiatique de cette grande première démocratique, les habiles nous ont expliqué que cette privatisation, pourtant au coeur de trois enjeux essentiels -démocratique, économique, écologique- “n’intéressait pas les Français”. La preuve ? Seules 900 000 signatures, sur les 4,7 millions requises, ont été à ce jour recueillies ! Le caractère dissuasif du site de recueil des signatures ? Dû à son âge vénérable, bien entendu. Aucune intention maligne ! Avec la décision de Sibyle Veil, au lendemain et dans la droite ligne du désormais célèbre “Ferme ta gueule” du général Georgelin, on peut appeler les choses par leur nom : un sabotage d’Etat.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/adp-le-sabotage-de-radio-macron-par-daniel-schneidermann/


Interdit d’interdire – Bolivie, Brésil, Chili… Que se passe-t-il en Amérique Latine ?

Wednesday 20 November 2019 at 07:00

Source : Russia Today France, Russia Today France, 19-11-2019

Frédéric Taddeï reçoit :

– Pablo Rotelli, docteur en économie et sciences sociales

– Pascal Drouhaud, président de l’association France

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/interdit-d-interdire-bolivie-bresil-chili-que-se-passe-t-il-en-amerique-latine/


John Pilger : Cela s’est-il vraiment passé au pays de la Magna Carta ?

Wednesday 20 November 2019 at 06:30

Source : Consortium News, John Pilger, 25-10-2019

[Magna Carta, latin pour Grande Charte, désigne plusieurs versions de la grande charte des libertés arrachée au roi Jean sans Terre le 15 juin 1215, dont le texte définitif est promulgué en 1225. NdT]

Dans un article écrit en exclusivité pour Consortium News, le célèbre réalisateur et journaliste John Pilger, ami de Julian Assange, évoque la scène inquiétante qui s’est déroulée, cette semaine, dans une salle d’audience londonienne alors que l’éditeur de WikiLeaks comparaissait dans l’affaire concernant son extradition vers les États-Unis.

Ce pire moment était le dernier en date d’une longue série de « pires » moments. J’ai, en effet, assisté à beaucoup d’audiences et j’ai vu des juges abuser de leur pouvoir. Cette juge, Vanessa Baraitser – en fait elle n’est pas du tout juge ; elle est magistrate – a scandalisé tous ceux d’entre nous qui étions présents.

Son visage a reflété ses sentiments, allant du rictus méprisant à l’implacable indifférence ; elle s’est adressée à Julian Assange avec une arrogance qui m’a rappelé un magistrat qui présidait le Bureau de classification des races dans l’Afrique du sud au temps de l’apartheid. Il est arrivé à Julian de ne pas réussir à s’exprimer, ses mots sortaient avec difficulté et il a même hésité sur son nom et sur sa date de naissance.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/john-pilger-cela-s-est-il-vraiment-passe-au-pays-de-la-magna-carta/


Une guerre avec l’Iran serait désastreuse et extrêmement coûteuse – Par William Hartung

Wednesday 20 November 2019 at 06:00

Source : Forbes, William Hartung, 05-09-2019

Aerospace & Defense

Je suis analyste pour la défense et je m’occupe de l’économie budgétaire du Pentagone.

Dans un nouvel article paru dans le New York Times, les auteurs Ronen Bergman et Mark Mazzetti ont exposé un effort de longue date du gouvernement Netanyahou en Israël et de ses alliés à Washington pour encourager une guerre contre l’Iran. L’article est un rappel du fait qu’une telle guerre reste une possibilité réelle et que cela devrait susciter un débat plus poussé sur le caractère désastreux d’un tel conflit.

La politique affichée de l’administration Trump à l’égard de l’Iran est celle d’une « pression maximale », centrée sur les efforts visant à étrangler l’économie iranienne par des sanctions économiques agressives. Mais les responsables de l’administration, en particulier le secrétaire d’État Mike Pompeo et le conseiller à la sécurité nationale John Bolton, ont menacé d’engager une action militaire en réponse à toute attaque qui aurait des répercussions sur les forces américaines, qu’elle soit menée par l’Iran ou l’un de ses mandataires présumés dans la région – une menace fondée sur le postulat erroné qui veut que l’Iran contrôle fermement toutes les actions entreprises par des forces qu’il a aidées d’une manière ou d’une autre, des milices chiites en Irak aux rebelles Houthi au Yémen. La position de Pompeo fournit un large mandat qui pourrait facilement conduire les États-Unis à entrer en guerre contre l’Iran, même en cas d’incident mineur.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/une-guerre-avec-l-iran-serait-desastreuse-et-extremement-couteuse-par-william-hartung/


[Entraide] Traduction anglais 19/11

Tuesday 19 November 2019 at 10:22

Voici comme d’habitude un appel à l’entraide pour la traduction de textes anglais, par une collaboration via Framapad.

L’idée est de traduire par blocs ET de vérifier et améliorer la traduction déjà réalisée par les autres, pour avoir un beau résultat (c’est pour ça d’ailleurs que je ne reprends pas souvent des traductions externes, elles sont souvent de piètre qualité).

Nous avons besoin de volontaires pour participer ponctuellement aux traductions (c’est un système participatif, vous gérez librement sans engagement de temps ni de durée). Nous avons modifié la procédure et augmenté la sécurité, qui implique une connexion par identifiant personnel et mot de passe. Si vous en voulez un, indiquez-le en commentaire de ce billet en précisant votre mail dans la zone spécifiée (pas dans le commentaire, sinon il sera visible par tous, ce qui n’est pas le cas dans la zone dédiée “Adresse de contact” du commentaire). Nous vous en communiquerons alors un. (recommencez s’il y a eu un souci, on fait au mieux…). Quand vous aurez vos codes (comptez quelques jours), un mode d’emploi est disponible ici..

Un conseil pour gagner du temps : n’hésitez pas à faire traduire les blocs de texte sur ce nouveau site, DeepL , qui fait des traductions automatiques d’une bonne qualité sur les phrases simples. Il faut évidemment repasser derrière, mais cela gagne du temps. Vous n’aurez qu’à coller la traduction sur les pads et corriger les quelques coquilles 🙂

================================================

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/entraide-traduction-anglais-3/


[RussEurope-en-Exil] D’Alexeï Pouchkov à Bastien Lachaud, deux points de vue sur la question de la Russie, par Jacques Sapir

Tuesday 19 November 2019 at 09:30

Deux livres importants, quoi que très différents dans leur contenu comme dans leur forme, viennent de paraître sur la place internationale de la Russie. Le livre qu’Alexeï Pouchkov vient de publier sur la stratégie russe et les relations internationales[1] sous le titre Le Jeu Russe sur l’échiquier global mérite naturellement que l’on s’y arrête. Jean-Pierre Chevènement en a rédigé la préface ; c’est dire qu’il s’agit donc d’un livre important et qui mérite discussion. Dans ce livre, l’auteur dresse un bilan de près de trente ans de relations internationales de l’Union soviétique puis de la Russie. Il analyse la disparition puis la résurrection de l’idée d’intérêts nationaux dans la diplomatie russe, balayant ainsi une période qui va de Gorbatchev à Eltsine et de Eltsine à Poutine.

Le second ouvrage, bien plus petit, a été écrit par un des députés de la « France Insoumise », Bastien Lachaud, et porte ce titre provocateur : Faut-il faire la guerre à la Russie ?[2]. Derrière ce titre se cache un ouvrage qui interroge les causes réelles et supposées de la constitution de la Russie en ennemi « inévitable » des européens et se pose la question de la raison de cette construction, qu’il appelle à déconstruire. Le rôle actuel de Bastien Lachaud, tant au Parlement, où il participe à la Commission à la Défense t aux Forces armées, qu’au sein de la France Insoumise dont il est l’un des cadres dirigeants implique d’accorder une attention toute particulière à cet ouvrage.

 

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-dalexei-pouchkov-a-bastien-lachaud-deux-points-de-vue-sur-la-question-de-la-russie-par-jacques-sapir/


Les Gilets Jaunes, un an après – Par Eric Juillot

Tuesday 19 November 2019 at 07:05

Le 17 novembre 2018, l’irruption des gilets jaunes dans la vie publique de la France constitua un événement de première importance voué à marquer son époque.

Un moment politique

Le mouvement des gilets jaunes fit connaître à notre pays durant quelques mois un authentique moment politique, comme il n’en avait pas connu depuis un demi-siècle. Il faut en effet remonter aux événements de mai-68 pour observer dans notre histoire récente une effervescence politique comparable par son ampleur et sa portée, tout en gardant à l’esprit que les ressorts de la mobilisation populaire de l’année dernière n’ont rien avoir avec ceux des soixante-huitards, quand ils ne s’y opposent pas frontalement. Le fonds culturel de mai-68 — par-delà la dimension socio-économique de la révolte qui était seconde — était individualiste et hédoniste. Le mouvement des gilets-jaunes était, à l’inverse, puissamment collectif et tourné vers toute autre chose que l’espoir de permettre à chacun de s’épanouir dans la sphère privée contre le conservatisme d’une certaine morale bourgeoise.

Il n’a jamais été question du peuple en mai-68, quand ce mot était sur toutes les lèvres des manifestants l’année dernière. Car c’est en effet le peuple incarné, le plus puissant des acteurs collectifs donnant à la démocratie sa substance, qui s’est soulevé avec les gilets-jaunes. La foule ordinaire des individus consommateurs, la société atomisée par le marché, la population fracturée par les différences de classe ou d’origine ont été en un instant subverties, balayées par la redécouverte soudaine et prodigieusement vivifiante de l’essence politique qui rend possible l’existence du corps social, du ciment civique – et non pas « citoyen » – qui lie puissamment tous ses membres, même lorsque ceux-ci se querellent. Le Peuple, donc, auquel Michelet pouvait consacrer un livre entier en plein XIXe siècle, mais dont il était bon ton depuis quelques décennies de se gausser, sinon de nier l’existence. Le peuple, surtout, dans son sens total, plein et entier : pas le peuple sociologique des prolétaires exploités, ni le peuple électoral voué à faire sagement un choix tous les cinq ans à l’intérieur du petit monde résiduel où l’idéologie néolibérale confine le politique. Le peuple total, c’est-à-dire le peuple politique, l’ensemble des citoyens, soulevé soudain par un impérieux besoin d’agir décisivement en imprimant au cours des choses leur marque profonde, profonde, car légitime.

Oui, les Gilets jaunes, quelques mois durant, ont été le peuple ! [1]. Ils l’ont été par le pouvoir d’incarnation que leur conféraient leur nombre, leur qualité de citoyens ordinaires, la diversité de leurs origines sociales, leur renouvellement constant, leur engagement collectif dans une action de haute politique, et en raison du soutien massif, attesté par des dizaines de sondages, du reste du pays. Et l’invincible légitimité qui découlait de cette incarnation a effrayé le pouvoir en place, au moins autant que la colère et la violence qui animaient une partie des manifestants. La perspective de voir s’écrouler tout à coup un régime de domination idéologique vieux de presque quatre décennies a littéralement sidéré les dirigeants du pays, comme si le sol s’était brusquement ouvert sous leurs pieds. Il lui a fallu admettre l’impensable : l’inexorable dépolitisation des esprits accomplie méthodiquement au fil des ans par le néolibéralisme triomphant n’était pas parvenue à éradiquer la possibilité d’un surgissement du peuple comme force politique brut dans l’espace public. Pire, elle avait même fini par le provoquer. Il avait fallu, pour cela, un élément structurel : arrivée au stade ultime de son déploiement et victime de ses contradictions, l’idéologie néolibérale devait désormais attaquer, plus fortement encore qu’elle n’avait osé le faire jusque-là, la république sociale dans son ensemble (système des retraites et niveau des pensions, code du travail, aides au logement, allocations familiales, traitement social du chômage…) ; il en allait de son triomphe tout autant que — paradoxalement — de sa survie — la politique économique unique et inepte appliquée avec constance depuis le début des années 1980 entraînant une baisse tendancielle de la croissance, un chômage de masse, et une augmentation du coût de la protection sociale au financement de plus en plus problématique. Au plan conjoncturel, ce sont les qualités propres au nouveau président, missionné pour liquider avec le sourire les ultimes vestiges du passé, qui ont permis à la crise d’éclater. Il n’a pas fallu plus de quelques mois pour que tout le monde constate que sa conduite à la tête de l’État procédait d’un mélange d’amateurisme, d’impudence et de dogmatisme au fort pouvoir détonnant. Il fallait vraiment être persuadé de la victoire définitive du néolibéralisme, de son incrustation au cœur des esprits les plus récalcitrants pour s’autoriser autant de légèreté et d’inconséquence. La prise de conscience survint lorsqu’il était trop tard, après que le peuple ulcéré fut entré en ébullition.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/les-gilets-jaunes-un-an-apres-par-eric-juillot/


Envoyé spécial : Le système de “crédit social” testé en Chine “existe déjà en France”

Tuesday 19 November 2019 at 06:30

Source : Envoyé spécial, Youtube, 17-10-2019

Les grandes entreprises nous espionneraient plus que l’Etat ? “Certainement”, répond Jean-Gabriel Ganascia, expert en intelligence artificielle, président du comité d’éthique du CNRS : si les pratiques de l’Etat sont encadrées, “ces grandes entreprises, elles, font un peu ce qu’elles veulent avec les données que nous leur fournissons, sur les réseaux sociaux par exemple ou avec internet, où nous sommes notés en permanence”.

Source : Envoyé spécial, Youtube, 17-10-2019

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/envoye-special-le-systeme-de-credit-social-teste-en-chine-existe-deja-en-france/


L’hiver de la démocratie a commencé… Par Guillaume Berlat

Tuesday 19 November 2019 at 06:00

Source : Proche & Moyen-Orient, Guillaume Berlat, 21-10-2019

Les mots font l’histoire. Mais, les mots peuvent nous sauver. Ou nous perdre. Le nouveau président de la République, Emmanuel Macron, qui avait pour objectif d’en finir avec les pratiques coupables de l’ancien monde, de la politique à l’ancienne (celle de Jacques Chirac1, d’Édouard Balladur, de Nicolas Sarkozy ou de Patrick Balkany), avait suscité de réels espoirs chez nos compatriotes après son élection par KO de Marine Le Pen. République exemplaire, moralisation de la vie publique, lois du 15 septembre 2017 pour la confiance dans la vie politique, loi du 10 août 2018 pour un État au service d’une société de confiance, renforcement des pouvoirs de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), renforcement des pouvoirs des commissions de déontologie, des déontologues et autres organismes du même acabit… tels sont ses mantras déclamés pour renouer le fil de la confiance entre dirigeants publics, haute fonction publique et citoyens.

Or, nous savons par le fruit de l’expérience qu’il existe un fossé énorme entre les paroles et les actes en général, et en France, en particulier. De plus, nos élites, formées pour la plupart d’entre elles au sein de la prestigieuse école nationale de l’arrogance (ENA), évoluent de plus en plus entre l’erreur et l’orgueil2. Humilité et morale ne sont pas des matières enseignées à Strasbourg dans l’ancienne prison pour femmes qui accueille la crème de l’élite de la République.

Cela laisse des traces indélébiles durant toute sa vie de pantouflages et autres gaités de l’escadron. Rappelons que la France est reine dans la mise au point de socles normatifs particulièrement robustes… au moins en théorie ! Le passage au crible de la pratique politico-administrative est moins brillant tant les vieilles habitudes ont la vie dure. Elle devrait légitiment conduire à une prise de conscience salutaire. Les dernières mesures prises en la matière sont loin d’être rassurantes.

UN SOCLE NORMATIF ROBUSTE

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/l-hiver-de-la-democratie-a-commence-par-guillaume-berlat/