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Ray McGovern : L’espoir d’une percée en Corée

Tuesday 10 September 2019 at 06:00

Source : Consortium News, Ray McGovern, 01-07-2019

1er juillet 2019

Donald Trump devra finalement rappeler à son conseiller à la sécurité nationale et secrétaire d’État qui est président s’il veut que des progrès soient réalisés en Corée du Nord, dit Ray McGovern.

Il y a de l’espoir pour de réels progrès dans les relations américano-coréennes après la rencontre imprévue de dimanche matin entre le président Donald Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un, en grande partie parce que la Russie et la Chine semblent plus déterminées que jamais à faciliter une avancée.

Avant le début des pourparlers, Kim a souligné l’importance de la réunion : « J’espère qu’elle pourra servir de base à des avancées positives auxquelles les gens ne s’attendent pas », a-t-il dit. « Nos excellentes relations seront une puissance magique qui nous permettra de surmonter épreuves et obstacles dans les tâches qui doivent être exécutées à partir de maintenant. »

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Source: https://www.les-crises.fr/ray-mcgovern-lespoir-dune-percee-en-coree/


[Recommandé] Jean-Claude Michéa (1/5) : La chance d’avoir des parents communistes

Monday 9 September 2019 at 07:00

Nous vous recommandons cette série sur Jean-claude Michéa, que nous publierons cette semaine.

Source : France culture, Jean-Claude Michéa, Guillaume Erner, 07-01-2019

Issu d’une famille communiste, Jean-Claude Michéa n’est “pas devenu révolutionnaire par rébellion contre le père mais par conservatisme, pour conserver la tradition familiale”. Tout Michéa est déjà en germe dans ce petit parisien qui jouait au foot au bord du périphérique.

Ce monde-là n’est plus : il faut se remémorer ce que fut le PCF pour comprendre l’univers dans lequel a grandi Jean-Claude Michéa. A l’époque on chantait, on mangeait, on vivait “rouge”. Et c’est cette couleur qui a décidé l’adolescent de 14 ans à devenir professeur de philosophie.

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Source: https://www.les-crises.fr/jean-claude-michea-1-5-la-chance-davoir-des-parents-communistes/


Revue de presse du 09/09/2019

Monday 9 September 2019 at 06:25

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Source: https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-09-09-2019/


Amazon Alexa conserve vos données sans aucune date limite, et en plus les partage

Monday 9 September 2019 at 05:00

Source : Cnet, Alfred NG, 02-07-2019

Un sénateur américain a posé les questions et Amazon a fourni les réponses et vous n’avez peut être pas envie de les entendre.

Dans une lettre au sénateur Chris Coons, Amazon explique qui peut conserver les enregistrements de vos conversations avec Alexa.
Chris Monroe/CNET

Si vous avez la gueule de bois au sujet de votre votre vie privée en ce qui concerne Amazon et son assistant intelligent, Alexa, vous n’êtes pas le seul. Même après qu’Amazon a envoyé des réponses à un sénateur américain qui avait des questions sur la façon dont le géant de la technologie conserve les données vocales et les transcriptions, le législateur demeure préoccupé par les pratiques d’Alexa en matière de confidentialité.

Chris Coons, sénateur démocrate du Delaware, a envoyé une lettre au PDG d’Amazon, Jeff Bezos, en mai, demandant des réponses concernant Alexa et la durée de conservation des enregistrements vocaux et des transcriptions, ainsi que l’utilisation des données. Cette lettre fait suite au rapport du CNET [site Web d’information traitant de micro-informatique, d’Internet et de nouvelles technologies, NdT] dévoilant qu’Amazon conservait les transcriptions des interactions avec Alexa, même après que les gens aient effacé les enregistrements vocaux.

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Source: https://www.les-crises.fr/amazon-alexa-conserve-vos-donnees-sans-aucune-date-limite-et-en-plus-les-partage/


Qatar : liaisons dangereuses avec le financement islamiste. Par Gérard Vespierre

Sunday 8 September 2019 at 07:00

Source : La Tribune, Gérard Vespierre 25-08-2019

ANALYSE. Le Qatar offre une grande visibilité dans les domaines de la communication et du sport. L’état qatari est également connu pour ses capacités d’investissements commerciaux et industriels. Moins visibles sont ses actions dans le financement de l’action politico-religieuse. Voici un point sur les dernières informations dans ce domaine. Par Gérard Vespierre, chercheur associé à la Fondation d’études pour le Moyen-Orient, la FEMO (*).

L’émirat du Qatar, est souvent évoqué dans l’organisation de la Coupe du Monde de Football 2022. Son nom revient aussi en tant que propriétaire du Paris Saint-Germain (PSG) par l’intermédiaire de son fonds, Qatar Investment Sports.

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Source: https://www.les-crises.fr/qatar-liaisons-dangereuses-avec-le-financement-islamiste-par-gerard-vespierre/


Source : Proche & Moyen-Orient, Guillaume Berlat, 05-08-2019

« Demain la Chine dominera le monde : ni rien ni personne ne pourra lui barrer la route » (citation d’un internaute, Franck Ntasamara, 1975). Maintenant que la Chine s’est éveillée et que l’empire du Milieu vient à notre rencontre, sommes-nous prêts à l’accueillir ? Et dans l’affirmative, à quelles conditions : soumission ou réciprocité ? Le projet pharaonique chinois dit des « Routes de la soie » (« Belt and Road Initiative ou BRI) est aujourd’hui particulièrement bien documenté par une kyrielle d’experts reconnus. Il traduit clairement la volonté chinoise de transformer sa puissance économique en puissance militaire et diplomatique. Jour après jour, nous découvrons les dernières ramifications de la toile que tisse méthodiquement Pékin en Asie1, en Europe de 2000 à 208, Pékin a investi 55 milliards de dollars aux Royaume-Uni, deux fois plus qu’en Allemagne et en France)2, au Moyen-Orient et en Afrique. Projets d’infrastructures gigantesques que le monde découvre avec effarement. Seuls les Chinois semblent capables de relever pareils défis technologiques et financiers. Mais aussi stratégiques : diluer les règles du jeu européennes, instaurer un « nouveau type de relations internationales », engagement dans un « plan d’action postalliance » basé du de nouveaux « partenariats » avec de « nouveaux amis ». Toutes choses qui pourraient conduire à une « nouvelle polarisation du monde », « repolarisation floue ».

Souvenons-nous, en lieu et place de céder à la tentation de la surprise stratégique, que « l’éternité est faite de trois dimensions, celle du passé, celle du présent, celle de l’avenir ». Et, c’est bien dans ce contexte spatio-temporel qu’il importe de replacer le projet déjà bien avancé des « Routes de la soie », un projet stratégique (« il faut avoir les yeux ouverts : la Chine est un concurrent, pas un partenaire », Michael Fallon, ancien ministre britannique de la Défense). « Les Chinois préfèrent devenir de plus en plus forts, si forts que leur adversaire renoncera à les affronter » souligne l’expert des questions stratégiques, Graham Allison ! Et, pourquoi pas de se livrer à un exercice ambitieux de prospective qui frise la politique fiction ? En faisant preuve d’imagination débridée – confessons-le -, l’on pourrait le comparer à une valse à trois temps, à une histoire d’amour (de désamour) à trois temps. Lançons-nous dans cet exercice incongru dans cette période de pensée cadenassée et aseptisée ! Nous passerons successivement du temps de l’admiration à celui de la soumission avant de parvenir à celui de la répulsion qui peut parfois conduire au divorce le plus sordide dans lequel tous les coups même les plus bas sont permis.

LE TEMPS DE L’ADMIRATION SANS BORNES

Avec l’Empire du milieu, le rêve chinois de déverser ses bienfaits économiques sur tous les États se situant sur les fameuses « Routes de la Soie », devient au fil des ans, et comme par un coup de baguette magique, une réalité tangible. Il prend corps.

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Source: https://www.les-crises.fr/routes-de-la-soie-du-reve-au-cauchemar-par-guillaume-berlat/


Source : Proche & Moyen-Orient, Richard Labévière, 12-08-2019

C’est sans doute la bombe géopolitique de l’été… Et la question qui vient aussitôt à l’esprit, c’est pourquoi maintenant ? alors qu’aucune menace terroriste imminente ou autre (quoi qu’en dise New Delhi) ne vise particulièrement l’Inde et ses intérêts. Un ambassadeur européen en poste en Asie le dit plus clairement : « En dépit de tout complotisme, c’est bien les Etats-Unis qui ont décidé d’allumer tous les feux possibles contre la Chine qui ose leur résister commercialement. Le Cachemire est l’un d’eux ! ».

Dans sa logique d’agent immobilier, Donald Trump a pris la responsabilité de réveiller la question du Cachemire pour deux raisons principales : faire rendre gorge à Pékin dans la phase actuelle du bras de fer économico-monétaire et « surtout, endiguer, sinon casser l’irrésistible avancée des Routes de la soie et du Collier de perles… », ajoute notre ambassadeur.

Que s’est-il passé ? Annoncée le 5 août dernier par décret présidentiel, la révocation de l’article 370 de la constitution indienne met fin au « statut d’autonomie relative » qui prévalait au Jammu-et-Cachemire depuis sept décennies. Les habitants perdent leur droit exclusif à posséder des terres dans la vallée himalayenne. De plus, selon une loi ratifiée cette semaine par le parlement indien, l’Etat fédéré est scindé en deux « territoires de l’Union », placés sous administration directe de New Delhi.

Selon le Premier ministre Narendra Damodardas Modi, ces mesures vont « donner une chance historique au changement… ». L’abrogation de l’article 370 devrait permettre à New Delhi, estime-t-il, d’assainir les comptes du Cachemire, de débloquer des projets d’infrastructures et d’encourager la croissance régionale. Le premier ministre affirme miser sur les investissements des entreprises et la création d’emplois pour dynamiser la région et susciter au sein de la population « de nouveaux espoirs et de nouvelles aspirations ».

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Source: https://www.les-crises.fr/cachemire-la-guerre-cest-la-continuation-de-la-politique-par-dautres-moyens-par-richard-labeviere/


Source : The Nation, Tony Karon, 25-07-2019

En réponse aux dramatiques sanctions américaines, l’Iran choisit la confrontation plutôt que la reddition.

Le secrétaire d’État Mike Pompeo prend la parole au département d’État, le jeudi 13 juin 2019, à Washington. (AP Photo / Alex Brandon)

Quel est l’intérêt d’avoir l’armée la plus puissante du monde si nous ne l’utilisons jamais ? Voilà ce que Madeleine Albright, alors secrétaire d’État, aurait crié au général Colin Powell en 1992, alors qu’il était réticent à engager la force américaine dans les guerres des Balkans. Le président Donald Trump est clairement d’accord avec Albright pour dire que l’armée est là pour être utilisée, mais aussi avec Powell pour dire qu’elle devrait être gardée hors des périls où elle s’embourberait. Il a utilisé l’armée américaine comme soutien politique – à la frontière, dans des frappes aériennes symboliques contre des cibles syriennes prévenues à l’avance, et dans une extravagante parade le 4 juillet à Washington. Mais, malgré son tweeting belliciste, Trump a écarté toute éventualité d’aventurisme expéditionnaire.

Et ça, c’est parce que l’un des principaux piliers de la promesse du président de « Make America Great Again » a été d’aller à l’encontre de l’héritage interventionniste du président George W. Bush. « Nous traçons la voie de la stabilité et de la paix au Moyen-Orient, parce que les grandes nations ne veulent pas s’engager dans des guerres interminables », a réitéré Trump, lors du lancement de sa campagne de 2020 à Orlando le mois dernier, dans une rhétorique qui aurait tout aussi bien pu être celle de Barack Obama. « Ces guerres durent depuis une éternité », a-t-il ajouté, promettant qu’il retirait les troupes et qu’il « donnait enfin la priorité à l’Amérique ».

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Source: https://www.les-crises.fr/liran-fait-le-pari-que-trump-a-peur-de-la-guerre-par-tony-karon/


Source : Or.fr, Philipe Herlin, 22-08-2019

Les taux négatifs ne figurent pas dans les manuels d’économie, les grands économistes n’ayant pas envisagé ce scénario qui paraissait complètement aberrant. Pourtant, ils existent bien, depuis des années maintenant, et ils s’étendent. L’Allemagne emprunte désormais jusqu’à 30 ans à taux négatif (-0,5% à 10 ans, -0,004% à 30 ans) et 60% de la dette souveraine de la zone euro, soit 4.800 milliards €, offre des rendements négatifs.

Mais pourquoi des investisseurs achètent-ils ces actifs financiers (acquérir ces obligations leur coûte de l’argent au lieu d’en rapporter) ? Certains le font pour se conformer à des obligations réglementaires (Bâle III incite à détenir des dettes souveraines, considérées comme sûres, plutôt que des actions), mais cela n’explique pas tout. En fait, ces investisseurs pensent que les taux vont encore baisser, et que, par conséquent, ils réaliseront un profit en revendant ces obligations.

Jusqu’où peut-on aller ainsi : -2%, -3% ? Justement, faisons un peu d’économie-fiction et imaginons ce que donnerait un taux négatif de -10% :

Pour l’épargne, c’est catastrophique : vous avez 100.000 € à la banque, l’année d’après 90.000 € (au lieu de toucher des intérêts, vous les perdez), ensuite 81.000 € (-10% de 90.000 €), etc. jusqu’à tout perdre.

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Source: https://www.les-crises.fr/taux-negatifs-jusquou-peut-on-aller-un-peu-deconomie-fiction-par-philippe-herlin/


Source : The Guardian, Mark Weisbrot, 27-08- 2019

La police équatorienne arrête un manifestant lors d’une manifestation contre les mesures d’austérité du président Lenin Moreno. Photographie: Cristina Vega / AFP / Getty Images

Quand les gens pensent aux dommages que les pays riches – généralement dirigés par les États-Unis et leurs alliés – causent aux populations du reste du monde, la première chose qui leur vient à l’esprit est sûrement la guerre. En Irak, des centaines de milliers de personnes sont mortes suite à l’invasion de 2003, et bien d’autres encore à mesure que la région s’enflammait.

Mais les pays riches ont aussi un pouvoir considérable sur la vie de milliards de personnes en contrôlant les institutions de la gouvernance mondiale. L’un d’eux est le Fonds monétaire international. Celui-ci compte 189 pays membres, mais les Etats-Unis et leurs alliés des pays riches disposent d’une solide majorité en matière de droits de vote au sein de l’organisme. La tradition veut que le chef du FMI soit un Européen, et les États-Unis disposent à eux seuls de suffisamment de voix pour opposer leur veto à de nombreuses décisions importantes – bien que les pays riches ne votent presque jamais les uns contre les autres.

Pour voir à quoi ressemble le problème, observons un prêt récemment octroyé par le FMI. En mars, l’Équateur a signé un accord pour emprunter 4,2 milliards de dollars au FMI sur trois ans, à condition que le gouvernement adhère à un programme économique spécifique énoncé dans l’accord. Selon Christine Lagarde, alors directrice générale du FMI, il s’agissait ” d’un vaste programme de réforme visant à moderniser l’économie et à ouvrir la voie à une croissance forte, soutenue et équitable “.

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Source: https://www.les-crises.fr/le-fmi-nuit-aux-pays-quil-pretend-aider-par-mark-weisbrot/