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“L’UE ne nous protège pas, elle nous met à nu” Montebourg

Sunday 18 August 2019 at 07:08

Source : NOP, Youtube, 19-07-2019

Arnaud Montebourg fait son retour au Sénat. L’ancien ministre de l’Economie et du redressement productif de François Hollande est auditionné par les sénateurs sur la suppression de 1000 emplois dans les usines du groupe General Electric. Il y a 4 ans Arnaud Montebourg avait qualifié d’erreur majeure la vente de la branche énergie d’Alstom à l’américain General Electric. Le groupe américain s’était engagé à l’époque à créer 1000 emplois, engagement qu’il n’a pas respecté. Désormais Arnaud Montebourg demande à l’Etat d’annuler la vente de 2014.

Source : NOP, Youtube, 19-07-2019

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Source: https://www.les-crises.fr/lue-ne-nous-protege-pas-elle-nous-met-a-nu-montebourg/


L’idylle insolite de Donald Trump, artisan du «Muslim Ban» avec la dynastie wahhabite. Par René Naba

Sunday 18 August 2019 at 06:19

Source : René Naba, 02-08-2019

Récit d’une singulière lune de miel à l’origine de la «transaction du siècle».

Pur hasard ou fâcheuse coïncidence qui masque une intention provocatrice ?

Traditionnelle ritournelle de la diplomatie américaine à l’égard des Arabes (1), la transaction du siècle, le règlement au rabais de la question palestinienne, devrait être révélée après la fin du mois de Ramadan 2019, soit vers le 5 juin, une date coïncidant avec la date de la défaite arabe lors de la 3ème guerre israélo-arabe de juin 1967.

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Source: https://www.les-crises.fr/lidylle-insolite-de-donald-trump-artisan-du-muslim-ban-avec-la-dynastie-wahhabite-1-2-par-rene-naba/


Intégrité forgée dans des cages. Par Chris Hedges

Saturday 17 August 2019 at 07:00

Source : Truthdig, Chris Hedges, 13-05-2019

Mr. Fish / Truthdig

Chris Hedges a donné cette conférence à 27 étudiants diplômés qui étaient auparavant incarcérés – dont certains à qui il enseigna en prison – et à leur famille à l’Université Rutgers vendredi [Avril 2019, NdT]. La cérémonie était organisée par le programme Mountainview de Rutgers [Université de l’État du New Jersey et l’une des plus importantes universités d’État américaines, NdT], qui aide les étudiants à obtenir leur diplôme à Rutgers après avoir suivi des cours universitaires en prison dans le cadre du programme de bourses d’études du New Jersey et du Transformative Education in Prisons Consortium (NJ-STEP). Lisez une transcription de son discours ou regardez-le en vidéo en suivant le lien au bas du message.

Mes camarades diplômés de l’université : l’intégrité n’est pas un trait héréditaire. Elle n’est pas conférée par les privilèges, le statut ou la richesse. Elle ne peut être transmise par des écoles ou des institutions d’élite. Ce n’est pas le produit de la naissance, de la race ou du sexe. L’intégrité n’est pas un pedigree ou une marque. L’intégrité se mérite. L’intégrité n’est pas déterminée par ce que nous faisons dans la vie, mais par ce que nous faisons avec ce que la vie nous donne. C’est ce que nous surmontons. L’intégrité est la capacité d’affirmer notre dignité même lorsque le monde nous dit que nous ne valons rien. L’intégrité se forge dans la douleur et la souffrance, dans la perte et la tragédie. Elle s’est forgée dans les salles d’audience où vous avez été condamnés. Elle s’est forgée dans les chaînes que vous avez été forcés de porter. Elle s’est forgée dans les cages où vous avez vécu, parfois pendant des décennies. Elle s’est forgée dans les pleurs de vos enfants, ceux qui ont perdu leur mère ou leur père à cause de la monstruosité de l’incarcération de masse. Elle s’est forgée dans le chagrin de vos parents, de vos frères, de vos sœurs, de vos époux et de vos partenaires. L’intégrité s’est forgée en surmontant l’enfer autour de vous pour étudier dans une cellule exiguë et oppressante pour un diplôme universitaire que personne, peut-être même pas vous, n’aurait jamais pensé que vous obtiendriez. L’intégrité, c’est refuser de devenir une statistique. L’intégrité, c’est se lever et crier à un univers indifférent : JE SUIS QUELQU’UN. Et aujourd’hui, personne ne peut nier qui vous êtes, ce que vous avez accompli et ce que vous êtes devenus – des diplômés universitaires, des hommes et des femmes intègres qui avez défendu farouchement votre dignité et votre capacité à exercer votre volonté, et qui avez triomphé.

Plusieurs d’entre vous sont mes anciens élèves : Boris, Steph, Tone, Hanif et Ron, bien qu’il soit difficile pour moi d’utiliser le mot « ancien ». Pour moi, vous serez toujours mes élèves. J’ai passé de nombreuses heures avec vous dans les salles de classe de la prison. Je connais les cicatrices que vous portez. Vous porterez ces cicatrices, ce traumatisme, pour la vie. Assumez vos souffrances. Ne les niez pas. Et sachez que la guérison ne vient qu’en tendant la main à ceux qui souffrent. C’est dire à ceux qui sont mis de côté par la société: « Moi aussi, j’étais méprisé. Moi aussi, j’étais là où tu es. Moi aussi, je me sentais seul et abandonné. Mais comme moi, tu peux surmonter cela et tu le feras ». Je ne suis pas romantique à propos de la souffrance. J’en ai vu beaucoup en tant que correspondant de guerre. La souffrance peut rendre certaines personnes meilleures. Elle peut en avilir et en détruire d’autres. Mais ceux qui surmontent la souffrance, qui restent attachés à la compassion et à l’empathie, peuvent devenir ce que Carl Jung appelle des « guérisseurs blessés ». Thornton Wilder, dans sa pièce de théâtre « L’Ange qui troubla les eaux », écrit : « Sans tes blessures, où serait ton pouvoir ? … Les anges eux-mêmes ne peuvent pas convaincre les enfants misérables et maladroits sur terre, comme seul peut le faire un être humain brisé par le cours de la vie. Au service de l’amour, seuls les soldats blessés peuvent servir ». Et il y a autre chose que j’ai appris en tant que correspondant de guerre : l’éducation est moralement neutre. Les personnes très instruites peuvent être aussi cruelles et sadiques que les analphabètes. C’est pourquoi tant de prédateurs humains qui profitent de la misère des pauvres dans des entreprises comme Goldman Sachs ont été formés dans des universités de la Ivy League [groupe de huit universités privées du Nord-Est des États-Unis, parmi les plus anciennes et les plus prestigieuses du pays, NdT]. C’est pourquoi James Baldwin a écrit que « l’éclat sans passion » – et par cela il entend la passion morale – « n’est rien de plus que de la stérilité ».

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Source: https://www.les-crises.fr/integrite-forgee-dans-des-cages-par-chris-hedges/


La politique de Trump à l’égard de l’Iran : des hypothèses dangereusement faussées, et pas de plan « B ». Par Alastair Crooke

Saturday 17 August 2019 at 06:00

Source : Strategic Culture, Alastair Crooke, 01-07-2019

Alastair Crooke

1er juillet 2019

© Photo : Wikimedia

Le professeur Russell-Mead nous dit « que la clé de la politique du président à l’égard de l’Iran est que son flair pour le pouvoir (et Trump est un juge compétent en matière de pouvoir, insiste R-M) lui dit que l’Iran est plus faible, et que les États-Unis sont plus forts, que ne le croient les tenants de la politique étrangère… Ce que veut M. Trump, c’est un accord avec l’Iran à la mesure de sa perception du pouvoir relatif des deux pays… ». (non souligné dans l’original).

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Source: https://www.les-crises.fr/la-politique-de-trump-a-legard-de-liran-des-hypotheses-dangereusement-faussees-et-pas-de-plan-b-par-alastair-crooke/


Jean-Claude Michéa : « Il est grand temps de refermer la triste parenthèse politique de la gauche libérale »

Friday 16 August 2019 at 07:00

Source : Le Comptoir, Jean-Claude Michéa, 20-06-2019

Après un article rédigé par Michael C. Behrent sur sa pensée, le magazine américain Dissent publie un grand entretien du philosophe Jean-Claude Michéa. Celui-ci a été accordé en janvier 2019, alors que les gilets jaunes fêtaient leurs deux mois. Le gouvernement commençait à discréditer le mouvement et à le couper de ses bases populaires en pointant notamment la présence des « Black blocs » et de groupuscules d’extrême droite lors des rassemblements parisiens. Alors que Michael Behrent a décidé, avec l’accord de Michéa, de laisser de côté quelques passages risquant d’être incompréhensibles pour des lecteurs américains, notre site propose la traduction intégrale de l’entretien. Dans la 1ère partie, le penseur est revenu sur la critique du libéralisme et sur sa défense des Gilets jaunes. Dans cette 2ème partie, il développe sa critique de la gauche libérale.

Dissent : La xénophobie et l’’intolérance sont en train de monter. Combattre le racisme, dans ce contexte, semble plus nécessaire que jamais. Je pense, par exemple, à cette critique du “privilège blanc” qui est très répandue chez les Américains progressistes. Pour vous, au contraire, l’antiracisme et les luttes sociétales symbolisent tout ce qui est faux dans le libéralisme culturel. Cette façon de voir ne risque-t-elle pas de délégitimer ces combats à un moment où ils semblent particulièrement nécessaires ?

Jean-Claude Michéa : C’est effectivement sur cette question du racisme et de la défense des “minorités” (sexuelles ou autres) que le nuage d’encre répandu depuis des décennies par l’intelligentsia de gauche est devenu aujourd’hui le plus difficile à dissiper. Car il ne s’agit évidemment pas de “délégitimer” le moindre de ces combats dits “citoyens” (ne serait-ce que par fidélité à Marxqui, dans le Capital, rappelait déjà que « le travail sous peau blanche ne peut s’émanciper là où le travail sous peau noire reste stigmatisé et flétri »). Ce qui fait problème, en revanche, c’est la façon incroyable dont la nouvelle intelligentsia de gauche – sur fond, tout au long des années 1980, de néolibéralisme triomphant, de “guerre des étoiles” et de déclin irréversible de l’empire soviétique – s’est aussitôt empressée d’instrumentaliser ces combats (on se souvient par exemple du rôle décisif joué sur ce plan par Bernard-Henri Levy, Michel Foucault et les “nouveaux philosophes”) dans le but alors clairement affiché de rendre définitivement impossible tout retour de la critique socialiste du nouvel ordre libéral, critique à présent assimilée au “goulag” et au “totalitarisme” (et le fait que l’actuelle génération d’intellectuels de gauche ait été élevée dans l’idée que Marx était un auteur “dépassé” − combien ont réellement lu le Capital ? − n’a certainement pas arrangé les choses !). Le cas de la France me paraît d’ailleurs ici, une fois de plus, emblématique.

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Source: https://www.les-crises.fr/jean-claude-michea-il-est-grand-temps-de-refermer-la-triste-parenthese-politique-de-la-gauche-liberale/


Trois peurs contemporaines. Par François-Bernard Huyghe

Friday 16 August 2019 at 06:00

Source : François-Bernard Huyghe, 13-08-2019

Le film de Mario Bava, les trois visages de la peur, classique d’horreur des années 60, décline le thème titre :
– Dans un sketch, tout le monde est contaminé par des morts-vivants, ici les Wurdalaks, quelque part dans les Carpates : ils risquent, si phénomène s’étend et si personne ne nous met en garde de dévorer l’humanité.
– Dans un autre sketch, un jolie fille qui a trahi un criminel est persécutée par ses appels téléphoniques de menace. Mais en réalité, c’est une femme qui la terrorise délibérément en dissimulant sa voix pour se glisser dans son lit.
– Dans le troisième, une infirmière qui a volé une bague sur un cadavre est tétanisée par le bruit d’une goutte d’eau qui la poursuit comme un remords mais qui n’existe peut-être que dans sa tête. Elle finit par en mourir.

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Source: https://www.les-crises.fr/trois-peurs-contemporaines-par-francois-bernard-huyghe/


Jean-Claude Michéa : « Il n’existe pas de lien philosophique indissoluble entre le libéralisme politique et la démocratie »

Thursday 15 August 2019 at 07:00

Source : Le Comptoir, Jean-Claude Michéa, 18-06-2019

Après un article rédigé par Michael C. Behrent sur sa pensée, le magazine américain Dissent publie un grand entretien du philosophe Jean-Claude Michéa. Celui-ci a été accordé en janvier 2019, alors que les gilets jaunes fêtaient leurs deux mois. Le gouvernement commençait à discréditer le mouvement et à le couper de ses bases populaires en pointant notamment la présence des « Black blocs » et de groupuscules d’extrême droite lors des rassemblements parisiens. Alors que Michael Behrent a décidé, avec l’accord de Michéa, de laisser de côté quelques passages risquant d’être incompréhensibles pour des lecteurs américains, notre site propose la traduction intégrale de l’entretien. Dans cette première partie, le penseur revient sur sa critique du libéralisme et sur sa défense des Gilets jaunes.

Dissent : Vos écrits montrent que le capitalisme ne peut pas exister sans la quête inlassable de l’individualisme et des désirs individuels. Ce qui inclut donc des valeurs – qui pour beaucoup d’entre nous sont devenus une seconde nature – telles que la réalisation de soi et la critique des normes sociales. Vous en concluez que le libéralisme économique ne peut pas exister sans le libéralisme culturel. « Une économie de droite – écrivez-vous – ne peut pas exister sans une culture de gauche. »Est-ce que la principale leçon de vos livres c’est bien que la gauche doit rompre une fois pour toutes avec le libéralisme ?

Jean-Claude Michéa : Je suis toujours sidéré, en effet, par la facilité avec laquelle la plupart des intellectuels de gauche contemporains (c’est-à-dire ceux qui, depuis la fin des années 1970, ont progressivement renoncé à toute critique radicale et cohérente du système capitaliste) opposent désormais de façon rituelle le libéralisme politique et culturel − tenu par eux pour intégralement émancipateur − au libéralisme économique dont ils s’affirment généralement prêts, en revanche, à condamner les “excès” et les “dérives” financières. Non seulement, bien sûr, parce qu’une telle manière de voir invite inévitablement à jeter par-dessus bord, dans le sillage de Foucault, toute l’armature intellectuelle du socialisme originel (au sens où Marx, par exemple, soutenait que le système capitaliste était incompatible avec toute notion de « limite morale ou naturelle » et que sa véritable devise, loin d’être culturellement conservatrice, était en réalité « Liberté, Égalité, Propriété, Bentham »).

Mais aussi parce qu’elle conduit, dans la foulée, à oublier que pour Adam Smith et les premiers défenseurs du libéralisme économique (un courant idéologique dont, soit dit en passant, l’intelligentsia de gauche a toujours autant de mal à reconnaître la filiation logique avec la philosophie des Lumières) les progrès de la liberté économique et du “doux commerce” apparaissaient indissolublement liés à ceux de la tolérance, de l’esprit scientifique et des libertés individuelles. Ce qui se comprend du reste assez bien. Comme le rappelait en effet Hayek dans The Road to Serfdom, une véritable économie libérale ne peut fonctionner de façon à la fois cohérente et efficace − et contribuer ainsi à « libérer l’individu des liens traditionnels ou obligatoires qui entravaient son activité quotidienne » − que si « chacun est libre de produire, de vendre et d’acheter tout ce qui est susceptible d’être produit ou vendu », sans que ni l’État ni la collectivité n’aient à se mêler de ses choix.

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Source: https://www.les-crises.fr/jean-claude-michea-il-nexiste-pas-de-lien-philosophique-indissoluble-entre-le-liberalisme-politique-et-la-democratie/


Echanges Lacroix-Riz / Sapir à propos du livre Moscou-Caucase, été 1934

Thursday 15 August 2019 at 06:11

Source : Facebook, Jacques Sapir, 10-08-2019

Madame Lacroix-Riz a adressé à Olivier Berruyer une « réponse » après la publication sur le site « Les Crises » de ma recension du livre Moscou-Caucase, été 1934. Je publie donc ici sur facebook le texte de Madame Lacroix-Riz et ma propre réponse à ce texte.

TEXTE DE MADAME LACROIX-RIZ

Annie Lacroix-Riz, commentaire de https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-de-la-fascin…/…, 9 août 2019, communiqué à Olivier Berruyer : réponse à un lecteur surpris du texte de Jacques Sapir et sollicitant avis.

Cher Monsieur,

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Source: https://www.les-crises.fr/echanges-lacroix-riz-sapir-a-propos-du-livre-moscou-caucase-ete-1934/


Pourquoi les Droits Humains sont importants. Par Paul R. Pillar

Wednesday 14 August 2019 at 07:00

Source : Lobe Log, Paul R. Pillar, 16-07-2019

16 juillet 2019

Mike Pompeo

par Paul R. Pillar

C’est à juste titre que le secrétaire d’État Mike Pompeo a été critiqué pour sa création d’une Commission des droits inaliénables, dont la mission est de redéfinir les droits de la personne. Cette initiative semble avoir pour but de revoir cette définition selon la doctrine religieuse que Pompeo infuse sans équivoque dans sa façon de conduire ses affaires officielles. L’orientation religieuse se reflète dans la composition de la commission, dont l’axe central est l’accent mis sur les questions religieuses, souvent avec une coloration ouvertement sectaire. L’un des membres, par exemple, soutient que le christianisme est le fondement des droits de la personne, du moins tels qu’ils sont compris en Occident. La création de cette commission, qui sera placée sous la responsabilité des équipes chargées de la planification des politiques, constitue une étape finale autour du Bureau du département d’état de la démocratie, des droits humains et de l’emploi, qui comprend le bureau qui depuis longtemps, suit de façon non sectaire les questions relatives aux droits humains dans le monde entier.

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Source: https://www.les-crises.fr/pourquoi-les-droits-humains-sont-importants-par-paul-r-pillar/


Le Pakistan face au défi du monde post occidental et de l’Eurasie. Par René Naba

Wednesday 14 August 2019 at 06:14

Source :René Naba, 31-07-2019

«Le Pakistan face au défi du monde post occidental et de l’Eurasie», le dernier ouvrage de René Naba (Editions Golias).

René Naba fera la présentation de son dernier ouvrage «Le Pakistan face au défi du monde post-occidental et de l’Eurasie (Editions Golias) :

le 26 Avril 2019 à Genève

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Source: https://www.les-crises.fr/le-pakistan-face-au-defi-du-monde-post-occidental-et-de-leurasie-par-rene-naba/