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“Berruyer PutaJuif” répond au nazi de “Démocratie participative”…

Friday 22 February 2019 at 07:00

Comme vous le savez, figurent parmi les objectifs de ce site celui de “Compléter les informations des grands médias” ; de “Lutter contre l’extrémisme politique quel qu’il soit et contre tous les discours de haine, et en particulier contre le racisme, l’antisémitisme ou la xénophobie” ; et de “Promouvoir des valeurs de fraternité et défendre l’application des Droits de l’Homme sur toute la Planète, sans ‘Deux poids et Deux mesures’.”

C’est pour cela que nous dénonçons régulièrement la complaisance envers des événements fascistes et/ou antisémites de la part de certaines autorités d’Europe de l’Est en général, et de l’Ukraine en particulier. Bien sûr, de tels actes existent – malheureusement – en France et en Europe, mais primo, dans ces cas-là (et contrairement à l’Ukraine) les grands médias jouent leur rôle d’information, et secundo, c’est quand même en Ukraine que le phénomène est – certes localement – le plus intense, le plus développé et le plus accepté. Le “Deux poids, deux mesures” des autorités françaises et des médias français pose d’ailleurs de lourdes questions, puisqu’un engagement politique contre l’antisémitisme ne doit pas pouvoir varier en fonction de la distance kilométrique qui séparent les victimes de Paris…

D’où la série d’articles il y a 15 jours sur l’antisémitisme en Ukraine – vu que nous n’en avions pas parlé depuis plusieurs mois.

Tout cela m’a permis de faire connaissance – je m’en serai bien passé – avec le site “DémocratieParticipative” – dont le nom indique très mal qu’il s’agit en réalité d’un site violemment antisémite, raciste et homophobe, hébergé à l’étranger, et publiant des contenus totalement abjects. Aussi, par respect pour ce qu’est la Démocratie Participative, nous choisissons volontairement de renommer ce site « Abjection Participative » dans la suite de notre article.

Car il se trouve que ce site a publié un nouvel article ordurier, dont je suis la cible, et que nous allons présenter ici.

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Source: https://www.les-crises.fr/berruyer-putajuif-repond-au-nazi-de-democratie-participative/


Interdit d’Interdire – L’antisionisme est-il un antisémitisme comme un autre ?

Friday 22 February 2019 at 06:00

Source : Interdit d’Interdire, Russia Today France, 20-02-2019

Frédéric #Taddeï reçoit Rony Brauman, ancien président de Médecins Sans Frontières, Aurélien Enthoven, youtubeur, Georges-Elia Sarfati, professeur des universités, psychanalyste, Martine Gozlan, rédactrice en chef à Marianne et écrivain ainsi que Michèle Sibony, ancienne vice-présidente de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP)

Source : Interdit d’Interdire, Russia Today France, 20-02-2019

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Source: https://www.les-crises.fr/interdit-dinterdire-lantisionisme-est-il-un-antisemitisme-comme-un-autre/


Ligue du LOL : pourquoi Twitter a-t-il laissé faire ? Par Genevieve Petit

Friday 22 February 2019 at 05:30

Source : Petit Web, Genevieve Petit, 18-02-2019

Quoi ?

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Source: https://www.les-crises.fr/ligue-du-lol-pourquoi-twitter-a-t-il-laisse-faire-par-genevieve-petit/


Les sources mal sourcées de Simon Blin, journaliste formé à l’école BHL (2/2)

Thursday 21 February 2019 at 07:00

Suite de notre Billet sur le journaliste de Libération Simon Blin, et sur ses méthodes douteuses.

Plan de l’article :

  1. Des sources très mal sourcées
  2. Les références de Simon Blin
  3. Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/les-sources-mal-sourcees-de-simon-blin-journaliste-forme-a-lecole-bhl-2-2/


Antisionisme, antisémitisme et idéologie coloniale. Par Alain Gresh

Thursday 21 February 2019 at 06:30

Source : Orient XXI, Alain Gresh, 19-02-2019

Dans le débat qui agite la France autour de l’antisémitisme, deux dimensions sont souvent absentes : le fait que, durant la première moitié du XXe siècle, la grande majorité des juifs était hostile au sionisme (étaient-ils aussi antisémites ?) ; que la caractéristique principale de ce mouvement était de s’inscrire dans une logique coloniale de conquête et de peuplement. Extraits du livre d’Alain Gresh, Israël-Palestine, vérités sur un conflit (Fayard, 2017).

Le sionisme n’a été que l’une des réponses possibles, longtemps très minoritaire, à la « question juive ». Durant la fin du XIXe siècle et avant la première guerre mondiale, la grande majorité des juifs d’Europe centrale et de Russie « vote avec ses pieds », en émigrant massivement à l’ouest, et notamment aux États-Unis, la Terre promise de tant de laissés-pour-compte… D’autres, nombreux, font le pari de l’intégration. À partir de 1880, et malgré l’antisémitisme, le nombre de mariages mixtes chez les juifs allemands ne cesse d’augmenter : entre 1901 et 1929, la proportion passe de 16,9 à 59 %. En France aussi, cette « assimilation » s’accélère. La participation active des juifs aux mouvements révolutionnaires transnationaux, notamment socialistes et communistes, qui prônent la fraternité universelle, peut être considérée comme une autre de leurs répliques aux discriminations dont ils sont l’objet. Quant aux religieux, ils rejettent pour la plupart le sionisme : l’État juif ne peut renaître et le Temple ne peut être relevé qu’avec la venue du Messie.

LES RÉTICENCES D’ALBERT EINSTEIN

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Source: https://www.les-crises.fr/antisionisme-antisemitisme-et-ideologie-coloniale-par-alain-gresh/


France : des experts de l’ONU dénoncent des restrictions graves aux droits des manifestants « gilets jaunes »

Thursday 21 February 2019 at 06:00

Source : ONU, 14-02-2019

Michel Forst, Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme.

Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée lors des manifestations récentes des « gilets jaunes » et les autorités devraient repenser leurs politiques en matière de maintien de l’ordre pour garantir l’exercice des libertés, selon un groupe d’experts des droits de l’homme des Nations Unies.

« Depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d’usage excessif de la force. Plus de 1.700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays », ont déclaré ces experts dans un communiqué de presse.

Ce groupe d’experts comprend Seong-Phil Hong, Président-Rapporteur du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Michel Forst, Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, et Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association.

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Source: https://www.les-crises.fr/france-des-experts-de-lonu-denoncent-des-restrictions-graves-aux-droits-des-manifestants-gilets-jaunes/


[Roses-Bruns] Les méthodes douteuses de Simon Blin (1/2)

Wednesday 20 February 2019 at 07:00

Libération a publié le 16 janvier dernier cet article qui parle et tente de dresser un portrait de moi.

Je tenais à préciser que je n’avais pas été contacté par le journaliste. Et à lui répondre – en violet dans le texte.

Nous allons analyser ici ses méthodes, dans deux billets.

Plan de l’article :

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Source: https://www.les-crises.fr/roses-bruns-les-methodes-douteuses-de-simon-blin/


Agressivité contre le gouvernement italien : Verhofstadt se surpasse. Par Ruptures

Wednesday 20 February 2019 at 06:00

Comme quoi, on voit bien qu’il y a un vrai problème avec ces faux “libéraux”, Macron n’est pas un cas unique….

Source : Ruptures, 15-02-2019

Feu à volonté sur le chef du gouvernement italien ! Le 12 février, celui-ci était « l’invité » des eurodéputés lors d’une séance plénière à Strasbourg. Et il a essuyé un feu nourri de critiques, particulièrement violentes. A la manœuvre en particulier, Guy Verhofstadt. L’ancien premier ministre belge, chef du groupe libéral au sein de l’europarlement, est connu pour être un intégriste de l’intégration fédérale de l’UE. Et n’est jamais le dernier en matière d’outrances et de provocations. Cette fois, il s’est surpassé, en accusant Giuseppe Conte de « stupide abus de pouvoir » dans son propre pays.

Deux griefs ont en particulier nourri la vindicte de M. Verhofstadt : le gouvernement italien aurait pris parti pour les Gilets jaunes en France, notamment à travers la visite d’un de ses deux vice-premiers ministres, Luigi Di Maio, dans l’Hexagone, et de sa rencontre avec quelques individus se réclamant dudit mouvement ; mais aussi l’attitude de Rome qui a bloqué une position commune des Vingt-huit à propos du Venezuela. L’Italie a été en effet l’un des rares pays à refuser que l’UE se mêle de la politique interne de Caracas.

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Source: https://www.les-crises.fr/agressivite-contre-le-gouvernement-italien-verhofstadt-se-surpasse-par-ruptures/


Le Pape, dernier vrai Diplomate ? Par Guillaume Berlat

Wednesday 20 February 2019 at 05:20

Source : Proche & Moyen-Orient, Richard Labévière, 18-02-2019

LE PAPE, DERNIER VRAI DIPLOMATE ? Guillaume Berlat. Dans un monde sans repère, sans vision, il est toujours réconfortant d’entendre une voix singulière, y compris lorsque celle-ci prêche dans le désert, au sens propre et, parfois, figuré. C’est ainsi que nous pourrions qualifier la visite du Pape François aux Émirats arabes unis (EAU)1 du 3 au 5 févier 2018. Éclipsé par l’actualité nationale (grand débat national, suites de l’affaire Benalla, incendie de la rue Erlanger…) et internationale (crise au Venezuela, bras de fer numérique entre la Chine et les États-Unis autour de la 5G, confirmation de la rencontre entre Donald Trump et Kim Jong-un au Vietnam les 27 et 28 février 2019…), ce premier déplacement de trois jours dans la Péninsule arabique est particulièrement important sur la scène internationale. Notons que le Pape est reçu comme un roi par le Prince Mohamed Ben Zayed al-Nathyan tout en restant, pour sa part, attaché à son vœu de pauvreté (Cf. le contraste impressionnant entre le ballet des limousines blanches et petite auto de marque Kia, modèle Soul. Ce déplacement mérite notre attention à plus d’un titre tant il comporte au moins trois dimensions essentielles.

UNE DIMENSION SPIRITUELLE : LE DIALOGUE DES RELIGIONS

Cette visite constitue une première en termes spirituels, constituant un premier pas du Souverain Pontife dans la Péninsule arabique, terre pas spécialement connue pour sa tolérance religieuse2. Le Pape François y est bien accueilli, y célèbre plusieurs offices en présence des représentants d’autres religions, mettant ainsi en pratique son projet de dialogue des religions. Dans ce domaine, comme dans tant d’autres, le Pape François se situe dans la cohérence et dans la continuité. En présence de 400 personnalités prononce une allocution de haute tenue, d’une rare intensité, « l’appel d’Abu Dhabi » dans lequel il lance un vibrant appel à la fraternité. Il signe un document « sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune ». Avant ce temps fort de cette visite, il a visité la « neuvième plus grande mosquée du monde avec ses 40 000 places » et s’est entretenu avec le Conseil des Sages, organisation internationale de hauts responsables religieux musulmans. Pour conclure son message fort, le Pape François réclame « la liberté religieuse » et pas la « seule liberté de culte », notamment pour les « chrétiens de la bien-aimée et névralgique région moyen-orientale ». Il faut que des sociétés ou des personnes de diverses religions aient le même droit de citoyenneté » et non « le droit à la seule violence sous toutes ses formes »3. De fait, il stigmatise les apôtres de la tolérance à géométrie variable4. On ne saurait être plus clair ! Sur un plan interne, le contexte de cette visite constitue le meilleur exemple de la volonté du Pape argentin de faire toute la lumière sur les dérives internes à l’église catholique. Après la pédophilie, il veut s’attaquer courageusement et sans tabou aux abus de religieuses par des prêtres5.

Mais, cette symbolique visite sur le plan religieux comporte des aspects plus vastes embrassant la géopolitique.

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Source: https://www.les-crises.fr/le-pape-dernier-vrai-diplomate-par-guillaume-berlat/


[RussEurope-en-Exil] Quelle démondialisation aujourd’hui ? par Jacques Sapir

Wednesday 20 February 2019 at 04:40

Lorsque j’écrivis mon ouvrage La Démondialisation, ouvrage qui fut publié en 2011 aux éditions du Seuil, il était déjà nettement possible de percevoir les signes d’une crise de la mondialisation, et même de l’amorce d’un processus de démondialisation. Le constat minimal que l’on peut tirer des dix dernières années est que cette mondialisation, ou globalisation, s’est fort mal passée, et qu’elle a engendrée de profondes et puissantes forces de contestation. Nous percevons mieux aujourd’hui ce qui était en fait évident depuis le début : ce processus est contradictoire à l’existence même de la démocratie. Ce qui frappe aujourd’hui est que ces pathologies politiques ont atteint un point de rupture dans le pays qui se présentait comme le cœur même du processus de mondialisation, les Etats-Unis[1].

Que l’on regarde les questions sociales, les questions écologiques ou les questions directement économiques, les signes d’un épuisement du processus, mais aussi d’une remise en cause de ce dernier s’accumulaient. Le retour au premier rang des nations comme acteurs politiques était évident[2]. Différents événements, allant du référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (le « Brexit ») à l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis, en passant par les réactions devant les tentatives de ces mêmes Etats-Unis de construire leur droit en législation extraterritoriale et la montée d’un euroscepticisme aujourd’hui très prégnant dans les pays de l’Union européenne sont venus confirmer l’analyse.

Alors, on parle aujourd’hui de risques de guerre à l’échelle mondiale. Et il est vrai que les tensions géopolitiques se sont accrues. Mais, il faut le savoir, la « mondialisation » n’a jamais interrompu les guerres. Ces dernières années, que ce soit dans les Balkans, en Afrique, au Moyen-Orient, la « mondialisation » s’est accompagnée de conflits violents, certains mettant en présence des armées régulières et d’autres faisant intervenir des forces dites « irrégulières ». Certains de ces conflits armés ont même été précipités, voire encouragés, par ce que l’on appelle la « mondialisation ». Les intérêts des grandes entreprises et des Etats, la volonté dans certains cas de s’assurer un monopole de ressources (sur le pétrole mais aussi sur les terres rares[3]) pour utiliser ce dit monopole dans le cadre d’un commerce « mondialisé » ont précipité des millions et des millions des femmes d’hommes et d’enfants dans les horreurs des guerres et des guerres civiles[4]. Le fait justement que le commerce soit « mondialisé » induit un nouveau degré dans la concurrence mais implique aussi de nouveaux espoirs de profits. Ces deux éléments jouent bien souvent un rôle décisif dans la décision d’entrer en conflit armé ou de susciter, en exploitant telle ou telle revendication ce conflit armé. En 2011 déjà, j’écrivais que le navire marchand fut en permanence précédé du navire de guerre. Rien de plus vrai à cet égard.

Cela devrait nous faire comprendre que nous vivons une période dangereuse car, à l’ordre glacé de la « Guerre Froide » n’a succédé aucun système stable organisant les relations entre les nations. Et, si le « mondialisation » a pu initialement bénéficier de la fin de la « Guerre Froide », de la chute du mur de Berlin et de la dissolution de l’Union soviétique, l’incapacité des uns à construire une réelle hégémonie et l’inaptitude des autres à mettre en place des structures de coordination efficaces est en train d’entraîner un recul accéléré de ce que l’on appelle la « mondialisation ». Les événements survenus depuis 2011 ont donc apporté une forme de confirmation aux thèses de mon livre. Le processus de démondialisation, dont on pouvait voir émerger les premiers signes dans le courant des années 2000, s’est bien radicalement accéléré. Il est probablement devenu irréversible, du moins pour la période historique dans laquelle nous sommes entrés.

 

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Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-quelle-demondialisation-aujourdhui-par-jacques-sapir/