les-crises.fr

Ce site n'est pas le site officiel.
C'est un blog automatisé qui réplique les articles automatiquement

Downing Street annonce la création d’une nouvelle section pour traquer les « fake news »

Friday 16 February 2018 at 06:00

23 janvier 2018

Theresa May crée une nouvelle unité nationale de sécurité pour contrer les « fake news » et la désinformation par la Russie et d’autres puissances étrangères, annonce Downing Street.

Le porte-parole officiel de la Première ministre a affirmé que la nouvelle unité de sécurité nationale des communications allait s’appuyer sur les capacités existantes et serait chargée de « combattre la désinformation provenant d’acteurs étatiques et autres ».

Ceci survient après que la Première ministre a accusé la Russie d’ingérence dans les élections et de diffusion de fake news dans une tentative « d’utiliser l’information comme une arme » et semer de la discorde à l’Ouest.

Son porte-parole a dit : « Nous vivons une période de fake news et de récits alternatifs. Le gouvernement répondra avec une meilleure et plus importante utilisation des communications de la sécurité nationale pour traquer ces défis interconnectés complexes.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/downing-street-annonce-la-creation-dune-nouvelle-section-pour-traquer-les-fake-news/


Pourquoi Macron critique l’intervention occidentale en Libye

Friday 16 February 2018 at 05:30

ÉCLAIRAGE

Le président français a reconnu la « responsabilité » de la France dans la situation aujourd’hui en Libye suite à l’intervention de l’OTAN.

Le dossier libyen a de nouveau été mis sur le tapis par Emmanuel Macron. En déplacement à Tunis pour deux jours, le président français a reconnu la responsabilité de la France dans la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui la Libye. « La France, tout comme des États de l’Europe et les États-Unis, a une responsabilité dans ce qui se passe dans la région », a-t-il déclaré jeudi dans un discours prononcé face au président tunisien Béji Caïd Essebsi et à l’Assemblée des représentants du peuple. « Je n’oublie pas que plusieurs ont décidé qu’il fallait en finir avec le dirigeant libyen sans qu’il y ait pour autant de projet pour la suite », a-t-il enchaîné, faisant référence à l’intervention militaire de l’OTAN en 2011 encouragée par la France sous Nicolas Sarkozy.

Ce n’est pas la première fois que le chef de l’État français rompt ouvertement avec les politiques menées par ses prédécesseurs dans le monde arabe. L’exemple de la Syrie est le plus symbolique à cet égard. M. Macron a mis en avant son « aggiornamento » sur ce dossier, en précisant, en juin dernier, « ne pas avoir énoncé que la destitution de Bachar était un préalable à tout ». « Car personne ne m’a présenté son successeur légitime ! » a-t-il précisé dans un entretien accordé à différents médias européens.

Il faut dire que la realpolitik Macron est fortement imprégnée du souvenir de l’intervention américaine en Irak en 2003, influençant dès lors la définition de sa politique étrangère au Moyen-Orient et cherchant à éviter à tout prix la répétition d’un scénario similaire. Dans ce contexte, ses propos sur la responsabilité de la France en Libye sont une première, mais ils s’inscrivent bien dans la continuité de la ligne voulue par le dirigeant français qui s’emploie à redorer le blason diplomatique de la France dans la région tout en flattant les populations de la région, en désignant l’interventionnisme occidental comme un bouc émissaire. Pour le chef de l’État français, « quoi qu’on pense d’un dirigeant », cela a contribué à « imaginer qu’on pouvait se substituer à la souveraineté d’un peuple pour décider de son futur ». « Nous avons collectivement plongé la Libye depuis ces années dans l’anomie sans pouvoir régler la situation », a-t-il souligné.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/pourquoi-macron-critique-lintervention-occidentale-en-libye/


Mennel, une Française ordinaire, par Saïd Benmouffok

Friday 16 February 2018 at 05:00

Il y a beaucoup à dire dans cette triste affaire, mais je vous propose de commenter surtout l’aspect “Big Brother” où de très vieux propos plus ou (comme ici) moins heureux, peuvent violemment resurgir du passé – le droit à l’oubli n’étant pas garanti…

Source : Libération, Saïd Benmouffok, 09-02-2018

Victime d’une polémique sur les réseaux sociaux lui prêtant des sympathies islamistes, la chanteuse a quitté l’émission «The Voice». Quand l’instrumentalisation d’une erreur de jeunesse aboutit à l’écrasement public d’une jeune femme.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/mennel-une-francaise-ordinaire-par-said-benmouffok/


Miscellanées du 15/02

Thursday 15 February 2018 at 06:00

I. Les éconoclastes

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/miscellanees-du-15-02/


Source : The Intercept, Maryam Saleh, 04-01-2018

Photo: Mandel Ngan/AFP/Getty Images

Quand Mohammed ben Salmane d’Arabie a réussi a mener un coup d’État et a renversé son rival politique en juin, le président Donald Trump en a tiré un crédit personnel. « Nous avons mis notre homme au pouvoir ! » a-t-il dit à ses amis, comme l’écrit Michael Wolff dans son livre bientôt publié Fire and Fury inside the Trump White House.

Le roi d’Arabie Saoudite Salmane, a évincé son neveu Mohammed ben Nayef en tant que prince couronné et a l’a remplacé par son fils de 31 ans ,ben Salmane, bousculant la lignée de succession et s’en prenant à des décennies de tradition dans la famille royale. Le coup a été annoncé au milieu de la nuit et c’était juste une autre étape dans la montée de ben Salmane au pouvoir dans le royaume durant ces dernières années. Le roi a aussi retiré à ben Nayef, qui fut un temps une figure puissante dans l’appareil de sécurité du pays, son poste de ministre de l’intérieur.

Juste un mois plus tôt, Trump avait fait une visite en Arabie saoudite durant son premier voyage outre-mer, rencontrant des leaders du Moyen-Orient et signant un contrat ambitieux de vente d’armes de 110 millions de dollars avec les chefs du royaume. Quand ben Salmane fut couronné prince, Trump l’a appelé et l’a félicité pour « sa récente promotion ».

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/trump-sur-le-changement-de-direction-en-arabie-saoudite-nous-avons-place-notre-homme-au-sommet/


Billet invité

Le séminaire Franco-Russe qui se tient du lundi 12 février au mercredi 14 février a donné lieu à plusieurs interventions. Je donne ici le résume de celle que j’ai faite le lundi 12 février, à la suite de celle de l’Académicien Victor Ivanter.

Jacques SAPIR

CEMI-EHESS et PSL

Problématiques de l’investissement en Russie :

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-linvestissement-en-russie-par-jacques-sapir/


Source : Insurge Intelligence, Nafeez Ahmed, 29-12-2017

Qu’ont en commun l’OTAN, les sous-traitants militaires privés, les énormes fabricants d’armes, les marchands de vin, la NSA, Trump, les milliardaires anglais, les oligarques russes et l’industrie du pétrole ? Le réseau social le plus important au monde.

Par Nafeez Ahmed

Assistance éditoriale par Andrew Markell et Gunther Sonnenfeld

Source: Geek.com

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/facebook-deviendra-plus-puissant-que-la-nsa-en-moins-de-10-ans-a-moins-quon-ne-larrete-par-nafeez-ahmed/


Billet invité

Le séminaire Franco-Russe qui se tiendra du lundi 12 février au mercredi 14 février a donné lieu à plusieurs interventions intéressantes. Je donne ici le résume de celle qui a ouvert le séminaire, intervention faite par l’Académicien Victor V. Ivanter, président de l’Institut de Prévisions de l’Economie

 

Victor Ivanter

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-la-situation-de-leconomie-russe-par-jacques-sapir/


Source : Truthdig, Chris Hedges, 14-01-2018

Une affiche représentant le révolutionnaire des années 1930 et du Front de libération nationale qui porte son nom (FMLN), l’un des principaux participants à la guerre du Salvador dans les années 1980 et 1990. (@martixos)

J’ai couvert la guerre au Salvador pendant cinq ans. C’était un soulèvement paysan de la part des dépossédés contre les 14 familles dominantes et la poignée de corporations américaines qui dirigeaient le Salvador comme si c’était une plantation. La moitié de la population était sans terre. Les ouvriers travaillaient comme des serfs dans les plantations de café, les champs de canne à sucre et les champs de coton dans une pauvreté effroyable. Les tentatives pour s’organiser et manifester pacifiquement afin de combattre l’énorme inégalité sociale se sont heurtées à la violence, y compris les tirs de mitrailleuses montées sur le toit des bâtiments du centre-ville de San Salvador, qui ont fait pleuvoir des balles sans discrimination sur une foule de manifestants. Des paysans, des travailleurs, des responsables religieux et universitaires ont été enlevés par les escadrons de la mort, sauvagement torturés et assassinés, leurs corps mutilés ont souvent été laissés sur les bords des routes pour être vus par le public. Quand je suis arrivé, les escadrons de la mort massacraient entre 700 et 1000 personnes par mois.

Une armée d’insurgés se leva, le Farabundo Martí National Liberation Front (connu sous l’abréviation espagnole FMLN), du nom du dirigeant d’un soulèvement paysan de 1932, qui a fut brisé par le massacre de milliers, peut-être des dizaines de milliers, dont beaucoup ont été tués lors d’exécutions sommaires. Le FMLN a repris une grande partie du pays des mains des militaires corrompus et démoralisés. A l’automne 1983, les rebelles, armés par le gouvernement sandiniste du Nicaragua, étaient sur le point de prendre la deuxième ville du pays. Au début, je ne voyageais pas avec l’armée. C’était trop dangereux. Il était beaucoup plus sûr d’aller au combat avec le FMLN. Sans une intervention extérieure, les rebelles auraient pris le contrôle du Salvador en quelques mois et évincé les oligarques.

Mais, loin au nord, il y avait un pays de merde dirigé par un ancien acteur de série B qui avait joué dans « Bedtime for Bonzo » et qui était aux premiers stades de la démence. Ce pays de merde, qui voyait le monde en noir et blanc, communiste et capitaliste, était déterminé à contrecarrer les aspirations des pauvres et des sans-terre. Il ne permettrait pas d’entraver les profits de ses entreprises, comme United Fruit, ou le pouvoir de la classe des oligarques dociles qui avait misé sur le Salvador. Il méprisait les aspirations des pauvres, en particulier les pauvres d’Amérique latine ou d’Afrique, les misérables de la terre, comme l’écrivain Frantz Fanon les appelait, des gens qui, aux yeux de ceux qui gouvernaient ce pays de merde, devaient travailler dans la misère toute leur vie pour les oligarques et les grandes compagnies américaines alliées avec eux. Laissez les pauvres, bruns et noirs avoir faim, regarder leurs enfants mourir de maladie ou être assassinés. Pouvoir et richesse, comme le croyaient ceux qui dirigeaient ce pays de merde, leur appartenaient de droit divin. Ils étaient dotés d’attributs spéciaux, en tant que seigneurs du royaume de merde. Que Dieu bénisse les pays de merde.

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/pas-besoin-dun-telescope-pour-trouver-un-pays-de-merde-par-chris-hedges/


Aujourd’hui, nous allons revenir sur le grave problème de la pollution de l’air (aux particules fines).

En effet, on lit souvent sur Internet des commentaires de ce style :

Ce marronnier, qui revient régulièrement depuis quelques années, est généralement le résultat de ce genre de raccourci, qui suscite beaucoup de polémiques inutiles :

Lire la suite

Source: https://www.les-crises.fr/le-mythe-de-la-pollution-de-lair-causee-par-les-centrales-a-charbon-allemandes-le-vrai-ennemi-cest-la-voiture/