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Loi sur les “fake news” : “Le grand danger, c’est de donner la responsabilité à l’Etat de dire le vrai du faux”, par Pascal Froissart

Tuesday 9 January 2018 at 05:00

Bonjour. Nous aurions besoin d’aide de pros des statistiques – merci de nous contacter ici

Source : France TV infos, Margaux Duguet, Pascal Froissart, 06/01/2018

Dans un entretien à franceinfo, Pascal Froissart, enseignant-chercheur, spécialiste de la rumeur, revient sur la proposition d’Emmanuel Macron de légiférer contre les “fake news” en période électorale.

Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi pour lutter contre la diffusion de fausses nouvelles en période électorale, le 2 janvier 2018.

C’est une proposition qui a déjà fait couler beaucoup l’encre. Lors de ses vœux à la presse, mardi 2 janvier, Emmanuel Macron a affiché sa volonté de s’attaquer aux “fake news” en période électorale. Le gouvernement devrait présenter “probablement avant la fin de l’année” un projet de loi sur le sujet, a annoncé, vendredi 5 janvier, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

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Source: https://www.les-crises.fr/loi-sur-les-fake-news-le-grand-danger-cest-de-donner-la-responsabilite-a-letat-de-dire-le-vrai-du-faux-par-pascal-froissart/


Le Président Jupi-Taire invente la Censure Libérale, par Jacques-Marie Bourget

Monday 8 January 2018 at 05:30

Billet Invité. Jacques-Marie Bourget est un écrivain et journaliste français. Il a obtenu en 1986 le prix Scoop pour avoir révélé l’affaire Greenpeace. A failli mourir en 2000 à Ramallah, victime d’un tir de l’armée israélienne.

Bienheureux que nous sommes, nous voici face à une nouvelle version du Jupiter : le Jupi-taire. Un dieu propre à faire taire, à étouffer, bâillonner. Le concept de censure démocratique est né. Ouf, on y arrive, le monde du silence approche. Le moment où les « pas contents » devront choisir entre se taire ou aller en prison, couverts d’amendes amers. Comme le fait remarquer Patrick Weil (vrai militant des Droits de l’Homme et professeur à Yale) la différence entre Sarkozy et Macron, est que le premier annonçait avec fracas des choses horribles -qu’il n’appliquait jamais- alors que le second proclame du doucereux pour mettre immédiatement en œuvre de l’épouvantable. Le roi nous prie donc, en attendant mieux, d’accepter la censure d’Internet. Avatar symbolique du rétrécissement progressif du champ de la liberté. Vous avez cru entendre le mot Résistance ? Rêvez encore : la censure est là pour le bien de l’homme. Ce sont les médias eux-mêmes, depuis 1981 et l’avènement de Dieu Premier, qui ont rendu les armes face à la pensée juste. La crise économique de la presse, -conséquence de la fabrique de mensonges- et le regroupement des journalistes derrière la oumma des bien-pensants, ont creusé leur tombe et celle des libertés. Ce qui fait une économie de croque-mort.

Un lecteur vétilleux, précautionneux, de ceux qui ne montent à vélo qu’équipés d’une trousse de secours, me dira : « Comment peut-on désapprouver une mesure qui veut bannir le mensonge et la diffamation d’Internet ? ». J’applaudis et précise qu’en France la loi de 1881 -et suivantes ayant le même objet- permettent de traquer la diffamation et le mensonge. L’incrimination de « propagation de fausses nouvelles » n’a pas été abolie. Le tout en précisant que cette fameuse loi de 1881, qui, soi-disant, définit la liberté de la presse, est au départ un texte scélérat voté pour en limiter l’exercice ; et criminaliser certains propos favorables à la Commune de Paris… Peu importe. Même ce texte approuvé par la droite au XIXe siècle, suffit à poursuivre menteurs et manipulateurs. Tous les apprentis sorciers. Le voici : « La publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler, sera punie d’une amende de 45 000 euros.

Les mêmes faits seront punis de 135 000 euros d’amende, lorsque la publication, la diffusion ou la reproduction faite de mauvaise foi sera de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l’effort de guerre de la Nation. » Que faire de plus ? Affuter la guillotine ? Quand Internet a propagé des « fakes » en forme d’ordures du genre « La France donne à chaque migrant une Carte Bleue bien garnie »… ou encore « En France les vieux payent la télé alors que les gens emprisonnés l’ont gratuitement », pour donner des exemples ordinaires de mensonges forgés dans les ateliers de l’extrême droite, avez-vous vu un procureur poursuivre ces incendiaires ? La fausse nouvelle n’est grave que si elle frôle un homme politique, pire un Président. Comme un outil existe pour évaluer l’importance d’un tremblement de terre, c’est « l’échelle de Richter », un instrument comparable permet de mesurer la considération que porte Emmanuel Macron à la liberté de la presse, c’est « l’échelle Delahousse ». Un président qui tolère ou encourage une séance de flagornerie comparable à celle mise en scène par France 2 -lors d’un entretien à l’Elysée le 17 décembre 2017- ne peut avoir que mépris pour les médias et ses « fonctionnaires ».

La question est donc : pourquoi le président français attaque-t-il la liberté d’Internet alors que l’outil répressif existe ? La réponse est simple. C’est pour rejoindre le flux de tous les néo-libéraux et néo-conservateurs de la planète. Ceux qui estiment que laisser vivre à sa guise un web qu’ils ne maitrisent pas est un très grand danger pour leur gouvernance. Une menace mortelle pour leur doctrine, l’asservissement par la finance mondialisée et néocoloniale. Les journaux eux-mêmes, petit à petit dépossédés de leur magistère par Internet, ont tout de suite milité pour que tout « site d’information » ne puisse exister « sans être adossé à un « grand média » »… Aux Etats-Unis, le New York Time en tête, nous avons assisté à de telles croisades de limitation du Net. Le tout est resté sans grand effet jusqu’au mois dernier où les géants américains, industriels du web, ont annoncé une restriction progressive de l’accès aux réseaux performants pour tout candidat qui ne soit pas un partenaire puissant ou « convenable ». Voilà où veulent en venir Macron et ses alliés : nous faire taire. Je dis « nous » puisque le débat, l’information plurielle sont devenues impossible en France et que le seul moyen de mettre à jour des sources et des points de vus différents c’est Internet. Tant pis si ce tuyau à deux conduits véhicule les meilleures nouvelles du monde, mais aussi des tonnes d’ordures. Comme devant la poubelle jaune et la poubelle verte, nous assez sommes assez adultes pour affronter le tri sélectif.

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Source: https://www.les-crises.fr/le-president-jupi-taire-invente-la-censure-liberale-par-jacques-marie-bourget/


Entre ”Le Monde” et Facebook, un beau conte de fake

Monday 8 January 2018 at 05:00

Source : Le Canard Enchainé, 03-01-2018

SOUVENT critiqué pour « être trop timide face aux contenus malveillants, Facebook a durci le ton », assurait « Le Monde » (19/12) dans un article au titre évocateur : « Face aux fausses informations, le discret ménage de Facebook ». L’enthousiasme du quotidien se comprend : c’est lui-même qui, dans le cadre d’un partenariat avec Facebook, a été mandaté par le réseau social (revendiquant 33 millions d’abonnés en France) pour épousseter ses pages.

Mais un lien d’une autre nature rend encore plus prégnante l’empathie entre le journal et la plateforme américaine. Julien Codorniou, le vice-président de Facebook chargé des partenariats, qui vit à Londres, est membre du… conseil de surveillance du « Monde » ! Grand ami de Xavier Niel — le coproprio du quotidien —, Codorniou figure aussi depuis peu à son côté au conseil de surveillance de Mediawan, le fonds d’investissement cofondé fin 2015 par un certain Niel Xavier. Le monde des géants est petit.

L’idylle entre la presse et les caïds du Web ne date pas d’hier. Pour quelques millions — une paille, comparé à ses milliards de revenus — versés à un « fonds d’innovation », Google s’est ainsi assuré la bienveillance de nombreux médias.

La romance entre Facebook et « Le Monde », elle, a réellement démarré en février 2017. Plusieurs confrères du quotidien sont alors sollicités par le mastodonte du Net pour l’aider à traquer les infos bidon sur ses écrans. Ce n’est pas qu’elles le dérangent tant que ça : en fait, elles assurent même son fonds de commerce en générant un gros trafic sur le réseau. Mais, depuis la présidentielle américaine, les fake news — ces bobards balancés par des plaisantins ou des escrocs — font tache sur le blason du fondateur, Mark Zuckerberg.

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Source: https://www.les-crises.fr/entre-le-monde-et-facebook-un-beau-conte-de-fake/


Comment Tsipras, avec le concours de Varoufakis, a tourné le dos au programme de Syriza, par Eric Toussaint (3/3)

Monday 8 January 2018 at 03:00

Source : CADTM, Eric Toussaint, 31-08-2017

Yanis Varoufakis fait remonter à 2011 sa collaboration avec Alexis Tsipras et son alter ego, Nikos Pappas. Cette collaboration s’élargit progressivement, à partir de 2013, à Yanis Dragasakis (qui est devenu, en 2015, vice-premier ministre). Une constante dans les rapports entre Varoufakis et Tsipras : Yanis Varoufakis plaide en permanence pour modifier l’orientation adoptée par Syriza. Varoufakis affirme que Tsipras-Pappas-Dragasakis veulent eux-mêmes clairement adopter une orientation différente, nettement plus modérée, de celle décidée par leur parti.

La narration faite par Varoufakis ne manque pas de piment. À travers son témoignage, on voit comment, à des étapes très importantes, des choix sont faits dans le dos de Syriza au mépris des principes démocratiques élémentaires.

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Source: https://www.les-crises.fr/comment-tsipras-avec-le-concours-de-varoufakis-a-tourne-le-dos-au-programme-de-syriza-par-eric-toussaint-33/


Source : CADTM, Eric Toussaint, 17-08-2017

Dans son dernier livre Adults in the Room(https://www.theguardian.com/books/2…), Yanis Varoufakis donne sa version des raisons qui ont conduit à la capitulation honteuse du gouvernement Tsipras en juillet 2015. Il analyse essentiellement la période 2009-2015 tout en faisant des incursions dans des époques plus lointaines.

Dans un premier article au sujet de ce livre (http://www.cadtm.org/Les-propositio…), j’ai analysé de manière critique les propositions faites par Varoufakis avant de participer au gouvernement de Tsipras en janvier 2015, en montrant qu’elles menaient à l’échec. Ce deuxième article porte notamment sur les liens entretenus par Yanis Varoufakis avec la classe politique dirigeante grecque (tant le PASOK historiquement lié à la social-démocratie, que le parti conservateur Nouvelle Démocratie) depuis plusieurs années.

Yanis Varoufakis met l’accent à plusieurs reprises sur le large éventail de ses relations dans le milieu politique grec. Il insiste sur son amitié passée avec Yanis Stournaras (l’actuel directeur de la banque centrale de la Grèce, allié de Draghi et des banquiers privés grecs et étrangers), sur ses bons rapports en 2009 avec Georges Papandréou (qui a mis en œuvre la politique conduisant au premier mémorandum), sur ses relations avec Antonis Samaras (qui a dirigé le gouvernement grec après le deuxième mémorandum) et il consacre une partie importante des 4 premiers chapitres du livre à relater la construction de rapports étroits de collaboration et à certains moments de complicité avec 3 dirigeants de Syriza. Il s’agit d’Alexis Tsipras (qui a conduit le peuple grec au troisième mémorandum), Nikos Pappas (l’alter ego de Tsipras, devenu ministre d’État dans le gouvernement Tsipras I) auquel s’est ajouté, en cours de route, Yanis Dragasakis (avant que celui-ci devienne vice-premier ministre des gouvernements Tsipras I et II). Dans cette deuxième partie, je vais aborder le récit du début de la crise grecque ainsi que les relations de Varoufakis avec la classe politique traditionnelle grecque.

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Source: https://www.les-crises.fr/le-recit-discutable-de-varoufakis-des-origines-de-la-crise-grecque-et-ses-etonnantes-relations-avec-la-classe-politique-par-eric-toussaint-23/


Source : Madaniya, René Naba, 06-12-2017

«L’appropriation d’une religion planétaire, son interprétation dans un sens ultra restrictif, régressif et répressif ainsi que son instrumentalisation à des fins politiques au service des anciens colonisateurs du Monde arabe et musulman, relève de l’imposture» – RN

Illustration : Document de renonciation à la Palestine en faveur des «malheureux juifs» signé par Abdel Aziz Al Saoud, fondateur de la dynastie wahhabite et remis au délégué de Grande Bretagne Sir Percy Cooks.

Traduction : «Au nom d’Allah, le très miséricordieux, Moi, Sultan Abel Aziz Ben Faysal, Ibn Abder Rahman Al Faysal Al Saoud, admet et reconnaît mille fois à Sir Percy Cooks, délégué de Grande Bretagne, qu’il n’y a pas pour moi aucun empêchement à offrir la Palestine aux malheureux juifs ou tout autre, selon ce que décidera la Grande Bretagne, dont je ne contesterai pas la décision jusqu’à la fin du Monde».

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Source: https://www.les-crises.fr/la-dynastie-wahhabite-et-le-bradage-de-la-palestine-par-rene-naba/


Source : Paul R. Pillar, Consortium News, 19-11-2017

Pendant la « guerre contre la terreur », le gouvernement américain a sous-évalué le nombre déclaré de civils tués (ce qui est bien utile pour préserver une perception positive de la guerre de la part de leurs concitoyens). Mais un nouveau rapport révèle la vérité, déclare un ancien analyste de la CIA, Paul R.Pillar.

Toute personne désireuse de réfléchir de manière approfondie et critique à l’usage de la force armée contre une cible telle que l’État Islamique (EI) ferait bien de lire l’article particulièrement fouillé du New York Times par le journaliste d’investigation Azmat Khan et le professeur Anand Gopal, en Arizona, à propos des pertes civiles causées par la campagne aérienne de la coalition menée en Irak. Les conclusions principales sont que ces pertes sont largement supérieures à ce que l’armée américaine a reconnu jusqu’à présent.

Un drone Predator tirant un missile.

Ce décalage est suspecté depuis quelques temps déjà, si on se base sur le travail initial mené par des organismes privés qui fouillent les articles de presse et les autres informations publiquement disponibles sur le terrain. Khan et Gopal sont allés au delà de ce travail en sélectionnant trois zones tests dans la province du Nineveh dans lesquels ils ont mené une enquête exhaustive, en interviewant des centaines de locaux et en passant en revue les décombres de bâtiments bombardés. Ils ont comparé ces preuves directes, incident après incident, avec ce qu’a dit l’autorité militaire responsable dans ses archives à propos des frappes aériennes qui avaient été menées dans la zone et leurs résultats.

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Source: https://www.les-crises.fr/sous-estimation-du-nombre-de-victimes-civiles-%e2%80%a8par-paul-r-pillar/


Source : CADTM, Eric Toussaint, 11-08-2017

Dans son dernier livre Adults in the Room(https://www.theguardian.com/books/2…), Yanis Varoufakis donne sa version des raisons qui ont conduit à la capitulation honteuse du gouvernement Tsipras en juillet 2015. Il analyse essentiellement la période 2009-2015 tout en faisant des incursions dans des époques plus lointaines.

Avec ce livre volumineux (550 pages dans la version originale en anglais), Yanis Varoufakis démontre qu’il est un grand narrateur. Il réussit par moment à émouvoir le lecteur. Son style direct permet de suivre de manière vivante le cours des évènements.

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Source: https://www.les-crises.fr/les-propositions-de-varoufakis-qui-menaient-a-lechec-par-eric-toussaint-13/


Source : Joe Lauria, Consortium News, 04-12-2017

Selon Joe Lauria, l’hystérie du Russia-gate est passée d’une simple stratégie visant à neutraliser ou faire destituer Donald Trump à une excuse visant à faire taire ceux qui refusent, aux États-Unis, l’idée d’une nouvelle guerre froide.

A la fin du mois d’octobre dernier, j’ai écrit un article pour Consortiumnews concernant le financement par la direction du parti démocrate et par l’équipe de campagne d’Hillary Clinton de publications non-vérifiées qui ont servi de base à cette histoire controversée d’ingérence supposée de la Russie, sur ordre du président russe Vladimir Poutine, dans les élections présidentielles américaines de 2016.

L’ancienne Secrétaire d’État Hillary Clinton s’adressant à ses partisans lors d’un meeting à Phoenix, dans l’Arizona, le 21 mars 2016 (photo de Gage Skidmore)

Cet article démontrait que les deux sources financées par les démocrates afin de faire croire au Russia-gate sont au mieux sujettes à caution. La première de ces sources est le dossier largement non-authentifié constitué par l’ancien espion britannique Christopher Steele, et composé de documents plus que douteux visant à faire passer Trump pour une sorte de candidat fantoche de la Russie.

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Source: https://www.les-crises.fr/comment-le-russia-gate-legitime-lusage-de-la-censure-par-joe-lauria/


Source : Alastair Crooke, Consortium News, 17-11-2017

Le président Trump et son gendre ont parié que le jeune prince héritier saoudien pourrait exécuter un plan pour remodeler le Proche-Orient, mais le stratagème s’est rapidement effiloché, révélant un amateurisme dangereux, écrit l’ancien diplomate britannique Alastair Crooke.

Aaron Miller et Richard Sokolsky, écrivant dans Foreign Policy, suggèrent que « le succès le plus notable de Mohammed ben Salman à l’étranger pourrait bien être la séduction et la conquête du président Donald Trump et de son gendre, Jared Kushner ». En effet, il est possible que ce « succès » soit le seul succès de MBS.

Le 20 mai 2017, le président Trump serre la main du vice prince héritier saoudien et ministre de la Défense Mohammad ben Salman. (Capture d’écran de Whitehouse. gov)

« Il n’ a pas fallu beaucoup de force de conviction », écrivent Miller et Sokolski : « Avant tout, la nouvelle bromance [une amitié forte entre deux hommes, avec un niveau émotionnel élevé et des démonstrations d’intimité fortes, sans composante sexuelle, NdT] reflétait une convergence opportune d’impératifs stratégiques. »

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Source: https://www.les-crises.fr/le-plan-saoudien-de-trump-seffiloche-par-alastair-crooke/