Une revue un peu plus longue pour profiter du lundi férié, avec notamment sous le thème “Vue d’ailleurs”, un spécial Venezuela. Vous pouvez rejoindre les contributeurs de cette revue en nous contactant via la formulaire du blog.
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Source: http://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-04062017/
Source : Consortium News, le 08-05-2017
Le 8 mai 2017
Exclusif : Bien qu’aucune preuve n’ait été actuellement présentée, deux fonctionnaires de l’ancienne administration Obama ont détruit la réputation du lieutenant général à la retraite Michael Flynn, le peignant comme un menteur et un traître potentiel, rapporte Robert Parry
Par Robert Parry
Il ne s’agit pas de défendre le jugement douteux du lieutenant général à la retraite Michael Flynn, mais plutôt de montrer que cette situation est un exemple préoccupant de la façon dont la surveillance électronique et l’ application d’une loi politisée peut, dans le nouveau maccarthysme ambiant, détruire la vie d’un citoyen américain.
Source: http://www.les-crises.fr/ecraser-le-general-flynn-par-robert-parry/
Source : Consortium News, John Pilger, le 12/04/2017
Le 12 avril 2017
Le gouvernement américain est si perturbé par l’érosion de sa domination sur un “monde unipolaire” qu’il entraîne des alliés comme l’Australie dans des conflits potentiellement dévastateurs, affirme John Pilger.
Par John Pilger
Tel un somnambule, l’Australie marche vers une confrontation avec la Chine, en ne réalisant pas que des guerres peuvent survenir subitement dans une atmosphère de manque de confiance et de provocation, notamment si une puissance mineure, comme l’Australie, abandonne son indépendance pour une “alliance” avec une superpuissance instable.
Source: http://www.les-crises.fr/laustralie-est-incitee-a-entrer-en-guerre-contre-la-chine-par-john-pilger/
Source : Consortium News, Jonathan Marshall, 19-04-2017
Exclusif: La poussée du Président turc Erdogan vers un autoritarisme nationaliste a un allié important du côté du parti néo-fasciste Grey Wolves ( Loups Gris ) rapporte Jonathan Marshall.
Par Jonathan Marshall.
Tous sauf un des principaux partis d’opposition en Turquie ont dénoncé dimanche le référendum sur la création d’ un nouveau système présidentiel autoritaire comme étant aussi bien pourri par la fraude que comme une menace sur les libertés politiques du pays. L’exception était le Parti du Mouvement Nationaliste (MHP), fondé en 1969 pour promouvoir un programme néo-fasciste, et ultra-nationaliste. Son destin mérite d’être considéré comme une indication sur la direction politique de la Turquie.
Source: http://www.les-crises.fr/les-allies-turcs-neo-fascistes-derdogan-par-jonathan-marshall/
Source : Russeurope, Jacques Sapir, 25-05-2017
Les journaux réputés les plus sérieux ont salué la baisse au mois d’avril du nombre de demandeur d’emplois en catégorie A comme spectaculaire. De fait cette dernière a bien baissé de 36 300 personnes. Mais, si l’on regarde les différentes catégories utilisées par la DARES (Pôle-emploi), on constate que les évolutions de mars à avril sont contrastées.
Ainsi, le nombre total des inscrits à Pôle-Emploi a augmenté de 22 400 personnes, la baisse de la catégories A, mais aussi de la catégorie D étant plus que compensé par les fortes hausses des catégories B et C. On voit qu’il est impératif de regarder la signification des catégories utilisées par la DARES avant de procéder au moindre jugement.
Source: http://www.les-crises.fr/hollande-macron-et-le-chomage-par-jacques-sapir/
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Source: http://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-02062017/
Philippe Béchade VS William De Vijlder (1/2): Regards sur la conjoncture économique européenne et la politique monétaire des banques centrales – 24/0
Source : François-Bernard Huyghe, 05-05-2017
“Nous ne sommes pas des “fake news”. Nous ne sommes pas des organisations de presse en difficulté. Et nous ne sommes pas l’ennemi du peuple américain” proclame le président de l’association des correspondants de presse à la Maison blanche, lors d’un dîner annuel (29 avril), d’où était absent Donald Trump, contrairement à tous ses prédécesseurs. À la même heure, loin de Washington, célébrant les cent jours de sa présidence, ce dernier soutenait la thèse inverse et faisait conspuer la presse bobo, rétive aux “faits alternatifs”. Ceux qui accusent Trump de s’être fait élire sur les délires des réseaux sociaux s’opposent ainsi à ceux qui pensent que les médias du système endorment le peuple pour maintenir leurs privilèges.
Pour confirmation : la même semaine, Donald Trump produit une vidéo où il explique qu’il a accompli des choses inouïes, à commencer par se faire élire, et ce en dépit des médias hostiles, tandis qu’Hillary Clinton parlant au “Women for Women International event” à New York, soutient qu’elle aurait certainement été élue s’il n’y avait pas eu la déclaration de James Comey du FBI annonçant une enquête sur l’utilisation non sécurisée qu’elle faisait de ses mails privés, ni les révélations qu’elle attribue aux services russes de courriels du parti démocrate. En somme Trump aurait gagné malgré les médias mainstream (y compris lorsqu’ils révélaient des vidéos privés montrant son attitude en matière de sexualité) et Clinton perdu à cause de mails privés (mais, soit dit en passant authentiques) répandus sur les réseaux sociaux (par les Russes, Wikileaks, la trumposphère, etc.). La vieille phrase “c’est la faute au médias” prend ici un sens tout à fait nouveau. Pour Trump ils sont la forme de l’hégémonie idéologique à combattre, pour H. Clinton, le lieu du débat public menacé par la violence de la transparence et les complots des faussaires.
Preuve de notre américanisation, le débat Le Pen contre Macron reproduit un schéma comparable. On en a largement souligné la violence populo contre techno (“Vos amis de la haut finance” contre “Vous dites des bêtises”). Mais s’est immédiatement posée la question du faux (et des déclarations de MLP sensées révéler le “vrai” Macron). Dans la nuit et a a fortiori dans le Monde du lendemain, il n’était question que des “ dix neuf mensonges” de Marine le Pen ou de ses allusions visiblement nourries par les rumeurs des réseaux sociaux. Comme si la fonction des médias “classiques”, visiblement sans prise sur une partie de l’opinion, était de dresser l’ultime digue de la vérification et de la preuve contre des communautés qui croyaient ce qui flatte leurs fantasmes. Ou comme si l’ultime pouvoir de ceux qui furent les faiseurs d’opinion, était dans un monde où il n’y a pas d’alternative (en économie, en politique, face à la mondialisation, à la mondialisation ou aux “demandes de la société”) que d’empêcher une vision alternative de se nourrir de faits alternatifs.
Le dissensus ne porte pas sur le souhaitable, le bon ou le juste, mais sur l’établissement des faits. Et l’accusation devient symétrique : “vous gobez n’importe quoi” versus “vous nous cachez tout”. Élites contre populisme, haut contre bas, périphérie contre centre, Amérique diplômée, à l’aise et urbaine contre ploucs inquiets, belles âmes contre cols bleus, mondiaux universalistes contre blessés de l’identité : on connaît l’explication sociologique. Elle suggère la base économique, géographique et culturelle d’un affrontement indéniablement idéologique.
Source: http://www.les-crises.fr/sur-le-front-du-faux-par-francois-bernard-huyghe/
Source : The Intercept le 03-05-2017.
« Pourquoi nous haïssent-ils ?
C’est une question qui, en pensant au monde arabo-musulman, a rendu les Américains inlassablement perplexes à la suite des événements du 11 septembre. Actuellement, toutefois, c’est une question qui est de plus en plus posée à propos des Nord-Coréens repliés sur eux-mêmes.
Soyons clairs : il ne fait aucun doute que les citoyens de la République Démocratique de Corée craignent et abhorrent les États-Unis. La paranoïa, la rancœur et un anti-américanisme grossier sont alimentés depuis des décennies, à l’intérieur du Royaume Ermite. A l’école, on enseigne aux enfants la haine des Américains tandis que les adultes commémorent chaque année un « mois de lutte contre l’impérialisme américain » (c’est en juin, au cas où vous ne le sauriez pas).
Source : Anglia Ruskin University, le 24 janvier 2017.
Publié le 24 janvier 2017
Une étude souligne les dénouements catastrophiques possibles dans une nouvelle ère de déclin énergétique.
Les États-Unis et l’Europe font face à un risque grandissant de défaillance étatique dans les années à venir dû à la recrudescence des crises économiques, énergétiques et environnementales interconnectées.