Washington ne doit permettre à personne de l’entraîner dans des stratégies de confrontation intéressées au Moyen-Orient ou ailleurs.
Source : Responsible Statecraft, aul R. Pillar
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Les discours des chefs de gouvernement de l’Iran et d’Israël à l’Assemblée générale des Nations Unies cette année illustrent deux façons très différentes dont le rival international d’un régime peut s’intégrer dans sa stratégie.
Le président iranien, Ebrahim Raisi, dans un discours d’environ 2 000 mots, n’a fait qu’une brève mention de ce qu’il a appelé le « régime sioniste occupant » – deux phrases sur ce qu’il a fait aux femmes et aux enfants dans les territoires occupés et sur la façon dont son blocus a transformé la bande de Gaza en « plus grande prison du monde », suivies d’un appel à organiser un référendum « avec la participation de tous les Palestiniens de toutes les religions et ethnies, y compris les musulmans, les chrétiens et les juifs. »