Le 28 janvier 2004, David Kay s’est assis seul à une table bien cirée dans une salle d’audition de la commission des forces armées du Sénat et a admis publiquement ce qu’aucun responsable américain n’avait dit auparavant, à savoir que l’Amérique était entrée en guerre en Irak sur la base de renseignements manifestement faux.
Source : Washington Post, Bob Drogin
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Bob Drogin, ancien journaliste et rédacteur en chef spécialisé dans la sécurité nationale au Los Angeles Times, est l’auteur de « Curveball : Spies, Lies, and the Con Man Who Caused a War ».