L’ancien Premier ministre pakistanais a qualifié son procès de « plaisanterie » dans un contexte de répression contre son parti politique à l’approche des élections.
Source : The Guardian, Hannah Ellis-Petersen
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
L’ancien Premier ministre pakistanais Imran Khan a été condamné à dix ans de prison pour avoir divulgué des secrets officiels, dans le cadre d’une campagne de répression contre son parti politique avant les élections générales prévues la semaine prochaine.
Il s’agit de la peine la plus lourde prononcée à ce jour à l’encontre de Khan, qui est incarcéré depuis août, après avoir commencé à critiquer ouvertement l’armée pakistanaise.