Son nouveau rapport montre que près de la moitié des espèces migratrices sont en déclin.
Source : Truthout, Julia Conley
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Alors que les gouvernements du monde entier se réunissaient lundi en Ouzbékistan pour la conférence des Nations unies sur les espèces migratrices, ils ont privilégié le thème « La nature ne connaît pas de frontières » – une idée qui, selon un nouveau rapport historique, doit s’imposer dans le monde entier pour inciter les décideurs politiques de tous les pays et de toutes les régions à protéger les milliards d’animaux qui se déplacent chaque année pour se reproduire et trouver de la nourriture.
La Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS) a marqué l’ouverture de la 14e conférence des parties (CMS COP14) au traité des Nations unies sur la biodiversité en publiant le tout premier rapport sur l’état des espèces migratrices dans le monde, qui montre que près de la moitié des espèces migratrices voient leur population décliner.