El Beblawi est l’un des auteurs de violations des droits humains les plus notoires d’Égypte, et pourtant les ventes d’armes au Caire semblent passer en premier.
Source : Responsible Statecraft, Michael Eisner, Sarah Leah Whitson
Traduit les lecteurs Les-Crises
L’administration Biden a récemment mis de côté son projet de « remettre les droits humains au centre de la politique étrangère américaine » pour donner un nouveau « chèque en blanc » au « dictateur préféré » de l’ancien président Trump, le président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi.
L’administration a fait des pieds et des mains pour demander l’immunité de l’un des auteurs de violations des droits humains les plus notoires d’Égypte, Hazem El Beblawi, dans le cadre d’un procès fédéral visant à obtenir des dommages et intérêts contre l’ancien Premier ministre égyptien pour son rôle dans la torture, la détention arbitraire et les horribles sévices infligés à un citoyen américain.