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Les articles de Reflets sont à nouveau réservés aux abonnés

Monday 11 May 2020 at 13:39

Nous avions enlevé le paywall pendant la période de confinement

Il nous semblait normal que dans cette période de pandémie et d'incertitude, tous nos articles soient accessibles à tous sans entraves. Le confinement prend fin. Nous remettons le paywall en place, parce que sans financement, votre journal ne peut exister.

Rotatives - Wikipedia

En 2011, Reflets est né avec une envie : diffuser au plus grand nombre une information de qualité, des enquêtes, une lecture du monde, notamment d'Internet, que l'on ne voyait pas ailleurs. Nous avions choisi un financement reposant sur le don. Ce que vous lisez vous plaît ? Faites un don. Cela ne suffisait pas à faire vivre le journal et à maintenir en vie la société qui l'édite. Nous avons alors décidé à contrecœur de mettre en place un paywall qui réserve la majeure partie de nos articles à nos abonnés. Mais la période du confinement nous a semblé particulière et nous avons décidé de mettre à disposition de tous la totalité des articles de Reflets depuis sa création. Le paywall a donc sauté. Il ne s'agissait pas de faire une offre spécifique, moins chère pour la période donnée, mais de libérer l'information pour qu'elle circule librement. Car au delà de la maladie qui a pu toucher nombre d'entre vous, il y avait ce confinement, cet emprisonnement volontaire, l'isolement. Nous voulions participer à créer du lien et permettre à tous d'accéder à une information de qualité en mobilisant encore plus nos journalistes.

Le pari est visiblement réussi puisque la fréquentation du site à explosé. Une de nos enquêtes sur les mensonges du gouvernement sur les ventes de masques par les pharmaciens a fait plus de 500.000 vues. Elle a même été reprise, en citant Reflets, par l'Oeil du 20 heures sur France 2.

Mais dans le même temps, nous avons...

Source: https://reflets.info/articles/les-articles-de-reflets-sont-a-nouveau-reserves-aux-abonnes


Nouriel a parlé : we are doomed !

Sunday 10 May 2020 at 14:48

On ne voudrait pas vous déprimer, Nouriel Roubini le fait très bien

Nouriel Roubini, c'est l'oracle. Il avait prévu la crise des Subprime, c'est dire... Bref, même si l'économie est très loin d'être une science exacte, lorsque Nouriel raconte un truc, ça vaut le coup de tendre une oreille pas trop distraite...

Nouriel Roubini - Kjetil Ree - Wikipedia - CC BY-SA 3.0

« Après la crise financière de 2007-2009, les déséquilibres et les risques qui pèsent sur l'économie mondiale ont été exacerbés par des erreurs politiques. Ainsi, plutôt que de s'attaquer aux problèmes structurels révélés par l'effondrement financier et la récession qui s'en est suivie, les gouvernements ont pour la plupart aggravé la situation, créant ainsi des risques majeurs qui ont rendu une autre crise inévitable. Et maintenant qu'elle est arrivée, les risques sont encore plus grands. Malheureusement, même si la Grande Récession conduit à une reprise en forme de U sans éclat cette année, une "Grande Dépression" en forme de L suivra plus tard dans cette décennie, en raison de dix tendances inquiétantes et risquées »... L'homme qui parle ainsi, laissant présager un avenir bien sombre, n'est pas un illuminé. Il s'agit de Nouriel Roubini. L'économie n'est pas une science exacte, loin de là et en dépit de tous les artifices mathématiques dont on l'habille. Nouriel Roubini pourrait tout à fait faire des prédictions façon boule de cristal et se planter lamentablement. Le hic, c'est que Nouriel Roubini doit une bonne partie de sa notoriété au fait d'avoir prédit la crise des Subprime en 2005... Il était bien seul à évoquer l'apocalypse financière à cette époque-là.

Alors, que voit Dr. Doom (son surnom) pour les années à venir, post-coronavirus ? Des choses pas rassurantes.

1) Il anticipe des déficits publics...

Source: https://reflets.info/articles/nouriel-a-parle-we-are-doomed


Déconfinement : les instructions d'Édouard Philippe aux préfets et aux ARS

Thursday 7 May 2020 at 12:47

Les modalités du processus en avant-première

Le premier ministre annonce cet après-midi à 16h la stratégie de déconfinement du gouvernement. Nous dévoilons les instructions transmises aux préfets et aux directeurs des agences régionales de santé.

Edouard Philippe - Jacques Paquier - Wikipedia - CC BY 2.0

Le premier ministre a adressé hier une circulaire aux préfets et aux directeurs généraux des agences régionales de santé (ARS) précisant les modalités du déconfinement. Vous pouvez télécharger ce document en cliquant sur ce lien et nous vous le résumons ci-dessous.

D'emblée, le premier ministre annonce la couleur : « ce processus sera progressif, territorialisé et réversible ». Les préfets et les directeurs généraux des ARS devront mettre en oeuvre la stratégie de déconfinement en :

  • organisant la vie quotidienne tout en prenant en compte le risque d'une deuxième vague épidémique qui serait due à un relâchement de la vigilance sanitaire ;
  • accompagnant la reprise de l'activité économique et sociale du pays ;
  • prenant en compte les publics les plus fragiles ;
  • appuyant les opérations de tests et de prévention des chaînes de contamination à mettre en oeuvre ;
  • supervisant, dans le cadre des instructions ministérielles, la continuité et la montée en puissance de l'activité des services de l'État relevant de leur autorité.

Le premier ministre annonce par ailleurs que les préfets et les directeurs généraux des ARS recevront deux instructions complémentaires « portant d'une part sur la mise en oeuvre de la politique de dépistage, d'investigation des cas contacts et d'isolement et, d'autre part, sur la distribution des masques en direction des agents de l'État et des personnes en situation de précarité ».

Sur l'aspect « territorialité »,...

Source: https://reflets.info/articles/deconfinement-les-instructions-d-edouard-philippe-aux-prefets-et-aux-ars


Le ministère de la Santé a bien dissuadé les pharmaciens de vendre des masques

Monday 4 May 2020 at 22:23

La présidente de l'ordre des pharmaciens confirme

Pendant ce temps-là Bercy et la grande distribution préparaient la vente de millions de masques dans l'optique du déconfinement. Masques qui n'ont pas été réquisitionnés alors que le secteur médical libéral en manque toujours.

Les masques de la discorde - D.R.

« Nous n'avons pas vendu de masques alors qu’on en avait bien le droit parce que nous souhaitions respecter la doctrine d’Olivier Veran même si ce n’était pas un texte juridique, assume Carine Wolf, la présidente nationale de l'Ordre des pharmaciens. Le ministre de la Santé nous disait qu’on devait réserver ce marché à pour les professionnels de santé, et aux soignants en priorité ». Elle confirme ainsi nos informations, les pharmaciens avaient bien le droit de vendre des masques depuis le 23 mars. « On s’est dit que c’était indécent de vendre des masques alors que nos confrères soignants en manquaient toujours, que l'on allait être en compétition avec le stock d'État et qu'il fallait mieux laisser l’État approvisionner. J’ai eu un échange avec le ministre de la Santé à ce propos là, en lui disant : qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on peut se mettre à vendre ? Et il m’a clairement dit : "Non, non, pour le moment on réserve pour les soignants." C’était il y a quinze jours, trois semaines. On a été bons soldats. On a donné notre accord pour ne pas se mettre sur ce marché-là et continuer à alimenter les professionnels de santé en priorité avec le stock de l'Etat. ». La présidente de l'ordre est très claire : « J’ai prévenu le ministre de la Santé qu’on avait des pharmaciens qui voulaient vendre des masques car ils avaient réussi à en faire venir 3 ou 5 millions, il m’a dit : "Ne faites pas ça, vous allez créer la ruée dans les...

Source: https://reflets.info/articles/masques-le-ministere-de-la-sante-a-bien-dissuade-les-pharmaciens-de-vendre-des-masques


Penser le monde d'après : "La question démocratique est prioritaire"

Monday 4 May 2020 at 11:35

Edwy Plenel invite à sortir du présidentialisme.

Pour le cofondateur de Mediapart, cette crise révèle la nécessité de changer de logiciel. Pour sortir de ce système présidentiel qui nous fragilise et nous met en danger, la solution ne peut être qu'une dynamique collective.

Edwy Plenel - Thesupermat - Wikipedia - CC BY-SA 3.0

On parle beaucoup d’un besoin de réformes après le Covid. Qu’est-ce qui vous semble important pour ce monde d’après?

Comme journaliste, je pense qu’on doit être interdit de futur. Prédire, c’est éviter l’inattendu qui va surgir et dont nous devrons rendre compte. Dix-huit associations et organisations syndicale ont écrit une tribune pour appeler à préparer le jour d’après. On voit bien qu’il y a nécessité de changer de logiciel, et que la réponse ne doit pas venir d’en haut mais de la société. C’est la question démocratique qui me paraît prioritaire. Cette pandémie a révélé que des sociétés européennes avaient mieux su faire face que nous à ce défi et a mis en lumière notre fragilité. On voit bien que la confiscation de la démocratie par le pouvoir d’un seul, le Président, est non seulement insupportable par son côté infantilisant, mais inefficace.

Elle a amené une situation où nous n’avons pas été protégés, où il y avait une pénurie générale de masques, de tests de dépistage, etc, où les décisions qui devaient être prise en temps et en heure n’ont pas été prises, où la confusion règne jusqu’à aujourd’hui au sommet de l’État, où les administrations étaient entravées. Leur lourdeur bureaucratique était aggravée. La bulle de pouvoir personnel a amené Emmanuel Macron et les siens à maintenir un agenda d’obsessions économiques, un agenda d’obsessions électorales – les municipales-, un agenda d’obsessions idéologiques - la réforme des retraites -, alors que la menace du virus...

Source: https://reflets.info/articles/penser-le-monde-d-apres-la-question-democratique-est-prioritaire


Ventes de masques au grand public : les mensonges du gouvernement

Sunday 3 May 2020 at 17:00

Elles étaient légalement possibles depuis le 23 mars

Les autorités ont martelé que les pharmaciens ne pouvaient pas vendre de masques chirurgicaux ou FFP2 au grand public. C'était faux depuis le décret du 23 mars. Et c'est même le ministre de la Santé qui le dit. Une politique qui a pu favoriser des contaminations. Explication.

Masque chirurgical

Cela peut paraître incroyable, mais les pharmaciens et la grande distribution, entre autres, pouvaient vendre des masques chirurgicaux depuis le 23 mars. Et pourtant le discours était tout autre. Les autorités sanitaires le martelaient dans les médias : interdiction de vendre des masques chirurgicaux et FFP2 au grand public. Syndicats de pharmaciens et Ordre national ne disaient pas autre chose. De toute façon, jusqu’à une date très récente, ces masques n'étaient, paraît-il, pas nécessaires. Ces éléments de langage servaient surtout à masquer l’imprévoyance organisée par les gouvernements successifs, déjà sous Nicolas Sarkozy, après le départ de Roselyne Bachelot, sous François Hollande puis sous Emmanuel Macron, comme l'a démontré entre autres Libération.

Revenons sur le discours officiel:

Le 10 mars, Olivier Véran, ministre de la Santé indiquait à Franceinfo : « Nous avons été le seul pays au monde à avoir fait une réquisition complète de tous les stocks de masques, de tous les sites de production de masques, et nous sommes capables d'avoir une gestion et un pilotage par l'Etat de tous ces masques dans la durée (...) on s'est rendu compte que lorsqu'on déstockait massivement des millions de masques, il y a des gens qui allaient chercher des masques qui n'en avaient pas besoin. J'ai donc pris un arrêté qui interdit la vente de masques pour toute personne qui ne relève pas d'une prescription ou qui n'est pas un professionnel de santé...

Source: https://reflets.info/articles/ventes-de-masques-au-grand-public-les-mensonges-du-gouvernement


Le collectif Laissons les médecins prescrire rend public un essai utilisant l'hydroxychloroquine

Friday 1 May 2020 at 22:05

Le collectif « Laissons les médecins prescrire » a rendu public le 30 avril une étude utilisant l'hydroxychloroquine qui montrerait son intérêt à un stade précoce de la maladie. Ce collectif a été créé suite à la parution du décret n2020-293 du 23 mars 2020 modifié par les décrets 2020-314 du 25 mars et 2020-337 du 26 mars 2020. Ces textes qui limitent la liberté de prescription, pour les médecins libéraux, de l’hydroxychloroquine (PLAQUENIL) ont été émis par les autorités françaises sur la base de l’avis relatif aux recommandations thérapeutiques du Haut Conseil de la Santé Publique rendu le 23 mars 2020. Cette interdiction est intervenue après publication par le Professeur Didier Raoult (IHU Méditerranée, Marseille) d’une étude proposant un traitement précoce de l’infection COVID-19 par l’association hydroxychloroquine / azithromycine.

Les 88 patients - des soignants ou des membres de leur famille - ont été classés en 3 groupes selon le traitement administré : - 20 patients traités par l’association hydroxychloroquine (400 à 600 mg/j pendant une période pouvant aller jusqu’à dix jours) et azithromycine (500 mg le premier jour et 250 mg les 4 jours suivants) ; - 34 patients traités par azithromycine seule à la posologie indiquée ci-dessus ; - 34 patient recevant un autre traitement, le plus souvent paracétamol à la demande, associé ou non à d’autres traitements à visée symptomatique (groupe témoin).

Dans les jours qui ont suivi le traitement, les patients ont à...

Source: https://reflets.info/articles/le-collectif-laissons-les-medecins-prescrire-rendent-public-un-essai-utilisant-l-hydroxychloroquione


Le monde de demain : l'ère du soupçon ?

Friday 1 May 2020 at 15:18

Une société suffocante se dessine à petits traits

Lorsque la confiance dans notre système d'organisation sociale disparaît, une sorte de société de la paranoïa se met en place, tout devient incertain et l'instinct de survie reprend du service...

Le titre de cet article est et détournement du titre d’un essai de Natalie Sarraute paru en 1956 chez Gallimard - Copie d'écran

Entre la vie d’avant et celle d’après il y a une différence de tonalité importante : avant c’était l’époque de la « transparence », compatible avec ces grands immeubles de verre érigés dans les quartiers périphériques des activités tertiaires, quartiers en pleine expansion, lieux d’expression de la « positive attitude », avec un grand sourire, un regard franc, une poignée de main affirmée. Bien sûr il n’y avait pas que des managers positifs, des résultats positifs au CAC 40, des familles qui savaient être bienveillantes, des mouvements caritatifs efficaces etc…

C’était aussi l’époque où des Black Blocs avançaient visages masqués, attaquant à la fin les cortèges revendicatifs organisés pour descendre des vitrines et afficher leur mépris pour la société capitalistique. De la lointaine Asie on avait bien des images de visages énigmatiques masqués, mais c’était loin. Un visage en occident se doit d’être visible, lisible, ouvert.

Et voilà que nous sommes dans le « Après », qu’il est question de généraliser le port de masques dans l’espace public, dans la rue, dans les magasins, dans les transports publics, et aussi pour tous les âges, et aussi dans les écoles, dans les cours de récréation, dans les classes. On peut penser que pour les enfants de maternelle (laissons les crèches de côté) et de primaire, une fois passé le temps de la découverte et du jeu il sera difficile de leur faire garder un morceau de tissu, ou de tout autre chose, sur le bas du visage. Pas facile pour...

Source: https://reflets.info/articles/le-monde-de-demain-l-ere-du-soupcon


StopCovid : les boites qui vont travailler dessus sont au top

Wednesday 29 April 2020 at 21:46

La sécurité informatique, la protection des données au coeur des préoccupations - Ou pas...

Voici une compilation en article de quelques tweets amusés, postés par l'auteur, sur le choix des entreprises qui vont travailler sur l'application StopCovid. Niveau notions de base en sécurité informatique, ce n'est pas exactement ce qui se fait de mieux...

Dessin de maternelle (voir la chute de l'article) - D.R.

L'INRIA a publié il y a quelques jours une liste de sociétés qui vont participer au projet d'application StopCovid de contact tracing. Pour ceux qui ont la mémoire des projets pharaoniques (Pensez Louvois le logiciel de paie des arméees ou SAIP l'applicartion d'alerte en cas d'attentat, ou encore, le "cloud souverain") se transformant peu à peu en échecs catastrophiques, toutes les conditions sont réunies. D'énormes SSII alliées à des dizaines d'autres intervenants qu'il va falloir ménager, des réunions sans fin en perspective, des sommes colossales engagées sur un projet franco-français qui ne tient compte de rien sur son environnement (on se contrefout des limitations techniques côté Apple et Google par exemple), application de la méthode La RACHE, bref, on court à la cata.

On ne s'attardera pas trop longtemps, mais tout de même, sur le fait que plusieurs chercheurs de l'INRIA ont signé une tribune contre le développement d'applications comme StopCovid, connaissant trop bien les risques... On trouve dans les signataires des chercheurs de l'INRIA Grand Nancy où se trouve le groupe de recherche Orpailleurs, dont nous parlions dans cet article. On ne se gaussera pas non plus du fait que Dassault, retenu pour son savoir faire en matière de Cloud super souverain hyper sécurisé n'est pas listé par l'ANSSI dans les prestataires qualifié pour le Cloud. On ne rigolera pas en voyant dans le groupe Withings, énorme...

Source: https://reflets.info/articles/stopcovid-les-boites-qui-vont-travailler-dessus-sont-au-top


StopCovid, une application qui masque très bien les vrais débats

Wednesday 29 April 2020 at 16:02

Mais qui , spoiler, ne fonctionnera pas

Le solutionnisme technologique comme réponse à un problème complexe, humain, ne fonctionne pas. Ou alors trop bien : il évince du débat public les vrais enjeux, les vraies problématiques.

Coronavirus - © Nostromo

Trouver le titre d’une chanson qui passe à la radio, jouer, travailler, s’organiser, faire du sport… « Il y a une application pour tout » est sans aucun doute la phrase qui est la mieux entrée dans le vocabulaire ces dernières années. Il devrait bien y avoir une application pour lutter contre le coronavirus ? Alors que c’était hors de question initialement, l’idée a fait son chemin au sein du gouvernement et c’est désormais une quasi-certitude, il y a aura bien une application « StopCovid » permettant de signaler lorsque l’on est malade, de prévenir toutes les personnes ayant été en contact avec la personne contaminée et de ne confiner ainsi que les populations à risque. C’est le « contact tracing ». Sur le papier, tout est parfait. Mais l’enfer est pavé de bonnes intentions…

L’application qui nous permettrait de savoir qui est malade et si l’on a été en contact, attise toutes les convoitises. Une nouvelle vague de fournisseurs de solutionnisme technologique déferle. Pas moins de cinq protocoles qui seront à la base des développements et des applications se disputent le haut du podium. En frontal, il y a une course à l’échalote pour savoir qui sera le plus respectueux de la vie privée. Sachant que l’idée est à la base de savoir qui a rencontré qui, c’est un peu mal parti pour le respect des informations personnelles. « Ce sera anonymisé ! » s ‘écrient en cœur les thuriféraires de l’application magique. Oui, sauf que tous les experts de l’anonymisation des données massives...

Source: https://reflets.info/articles/stopcovid-une-application-qui-masque-tres-bien-les-vrais-debats