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La France au sommet de l’OTAN du 4 décembre 2019: résistance ou résignation ? Par Hannoun Hervé

Saturday 7 December 2019 at 07:00

Source : Le Blog Mediapart, Hannoun Hervé, 29-11-2019

«En déclarant que l’OTAN était “en état de mort cérébrale”, le Président de la République a osé briser un tabou, celui de la légitimité existentielle d’une organisation qui, depuis la fin de la guerre froide, mais surtout depuis ces dernières années, a perdu sa raison d’être». On ne peut que souscrire à ce jugement de l’association “Initiatives pour le désarmement nucléaire”.

«En déclarant que l’OTAN était “en état de mort cérébrale”, le Président de la République a osé briser un tabou, celui de la légitimité existentielle d’une organisation qui, depuis la fin de la guerre froide, mais surtout depuis ces dernières années, a perdu sa raison d’être». On ne peut que souscrire à ce jugement de l’association “Initiatives pour le désarmement nucléaire”. A la suite des déclarations justifiées du Président Macron dans The Economist le 7 novembre sur les graves dysfonctionnements de l’OTAN, on a assisté à une levée de boucliers dans le microcosme des milieux ultra-atlantistes, lequel attend maintenant avec fébrilité que, au sommet de Londres du 4 décembre 2019, la France capitule et rentre dans le rang. Ce serait pourtant une faute historique pour notre pays. Il y a quatre raisons fondamentales de ne pas céder, et de choisir le 4 décembre la résistance plutôt que la résignation.

1/La première, et la plus récente, c’est la manière indigne dont l’OTAN s’est lavée les mains en octobre 2019 de l’agression perpétrée par l’armée turque, la seconde de l’OTAN par le nombre, contre les Kurdes de Syrie. Après les désastres des interventions de l’OTAN en Serbie en 1999 (création du Kossovo après des mois de bombardements aériens) et en Lybie en 2012, l’intervention turque au Nord Est de la Syrie en 2019 est un nouveau dysfonctionnement grave de l’OTAN, car cette agression n’a à aucun moment été condamnée ni par le Secrétaire général Stoltenberg ni par les autres organes de l’Alliance. Tout a été dit par le Président français sur cet épisode affligeant. On peut simplement ajouter que, à défaut d’exclure la Turquie de l’organisation, l’OTAN devrait à tout le moins mettre un terme au stockage sous l’égide de l’OTAN de bombes nucléaires américaines sur le sol de la Turquie.

2/ Le deuxième problème fondamental de l’Alliance est que l’appartenance à l’OTAN, organisation étroitement dépendante des Etats-Unis, de 22 sur 28 pays membres de l’Union Européenne n’est pas compatible avec l’affirmation de la “souveraineté européenne” en matière de défense souhaitée par le Président Macron.

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Source: https://www.les-crises.fr/la-france-au-sommet-de-l-otan-du-4-decembre-2019-resistance-ou-resignation-par-hannoun-herve/


Que gagnent les journalistes ? Entre précarisation et salaires faramineux

Saturday 7 December 2019 at 06:30

Source : ACRIMED, Frédéric Lemaire, 26-11-2019

Lors des mobilisations des gilets jaunes, les journalistes n’ont pas manqué de s’interroger sur la « défiance » exprimée par les manifestants à l’égard des médias. Pour certains, leur profession serait victime d’un mythe, selon lequel les journalistes seraient membres d’une élite parisienne, fortunée, proche du pouvoir. En particulier, la question du salaire des journalistes a pris une dimension importante : dans quelle mesure son montant révèle-t-il une éventuelle déconnexion à l’égard du reste de la population ? Dans cet article, nous proposons un ensemble de chiffres qui livrent, en réalité, une situation très contrastée. Il n’en reste pas moins qu’au sein de la profession, les éditocrates et autres présentateurs stars – qui font l’agenda médiatique – affichent des rémunérations très supérieures à celles de la grande majorité de la population française – et en particulier des autres journalistes.

En décembre 2018, dans une émission d’Arrêt sur images, l’historienne Ludivine Bantigny expliquait la déconnexion des présentateurs stars des chaînes d’information vis-à-vis du mouvement des gilets jaunes par leurs salaires très élevés. « J’ai vérifié les salaires des journalistes, ce sont des gens qui sont payés entre 15 000 et pour certains 50 000, 60 000 euros mensuels » avançait-elle, à la suite de la diffusion d’un extrait d’une émission de Bruce Toussaint.

Souvent prise au pied de la lettre – comme si l’historienne évoquait le cas de l’ensemble des journalistes – la citation a suscité de nombreuses réactions dans les médias [1]. Selon L’Express, les salaires faramineux des journalistes seraient « un mythe » ; un « fantasme » selon Challenges ; Le Parisien y va également de son article de « fact-checking ».

Autant de mises en perspective qui ont au moins l’intérêt de rappeler la grande hétérogénéité des situations parmi les journalistes. Ainsi, comme le rappelle l’article de L’Express, les titulaires d’une carte de presse ne disposent pas tous de revenus comparables à ceux de Natacha Polony, qui touchait 27 400 euros mensuels (l’article ne précise pas s’il s’agit du montant net ou brut) pour sa revue de presse sur Europe 1 jusqu’en 2017, ou de Maïtena Biraben (55 944 euros brut par mois comme présentatrice du « Grand journal », avant son licenciement en 2016).

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Source: https://www.les-crises.fr/que-gagnent-les-journalistes-entre-precarisation-et-salaires-faramineux/


Interdit d’interdire : Diana Filippova – Gilles Babinet : le technopouvoir va-t-il nous asservir ?

Saturday 7 December 2019 at 06:18

Source : Interdit d’Interdire, Russia Today France, 27-11-2019

Frédéric Taddeï reçoit :

– Gilles Babinet, entrepreneur, vice-président du Conseil National du Numérique

– Diana Filippova, chef d’entreprise, auteure et activiste

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Source: https://www.les-crises.fr/interdit-d-interdire-diana-filippova-gilles-babinet-le-technopouvoir-va-t-il-nous-asservir/


Un scandale énorme : comment Assange, ses médecins, ses avocats et ses visiteurs ont tous été espionnés pour les États-Unis – Par Stefania Maurizi

Friday 6 December 2019 at 07:00

Source : La Repubblica, Stefania Maurizi, 18-11-2019

La Repubblica [quotidien italien de centre gauche – Wikipedia – NdT] a eu accès aux enregistrements vidéo et audio de la société espagnole UC Global, qui a espionné le fondateur de WikiLeaks, son équipe de journalistes et tous ceux d’entre nous qui ont rendu visite à Assange à l’ambassade d’Équateur au cours des sept dernières années. Les images vidéo et les enregistrements audio révèlent une effroyable violation de la vie privée. Toutes les informations recueillies par UC Global ont été envoyées aux services secrets américains.

On dirait un film de James Bond, mais c’est une histoire vraie. Julian Assange, les journalistes de WikiLeaks et tous les avocats, journalistes, politiciens, artistes et médecins qui ont rendu visite au fondateur de WikiLeaks à l’ambassade équatorienne au cours des sept dernières années ont été victimes d’espionnage systématique. Les réunions et les conversations ont été enregistrées et filmées, et toutes ces informations ont été transmises aux services de renseignements américains. Certaines de ces opérations d’espionnage étaient vraiment étranges : un jour, des espions avaient même prévu de subtiliser la couche d’un bébé qui avait été présent lors d’une visite à Assange à l’intérieur de l’ambassade. Le but ? Prélever les excréments du bébé et effectuer un test ADN pour déterminer si le nouveau-né était un fils caché de Julian Assange.

La Repubblica a eu accès à certaines des vidéos, des enregistrements audio et des photos. Rencontres entre le fondateur de WikiLeaks et ses avocats, examens médicaux de Julian Assange, rencontres diplomatiques de l’ambassadeur équatorien Carlos Abad Ortiz, rencontres entre Assange et des journalistes. Tout était espionné.

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Source: https://www.les-crises.fr/un-scandale-enorme-comment-assange-ses-medecins-ses-avocats-et-ses-visiteurs-ont-tous-ete-espionnes-pour-les-etats-unis-par-stefania-maurizi/


N’en faites pas une histoire de pétrole – Par Paul R. Pillar

Friday 6 December 2019 at 06:00

Source : Lobe Log, Paul R. Pillar, 29-10-2019

Donald Trump (Gage Skidmore via Flickr)

La confusion a régné quant aux objectifs de la présence des troupes américaines en Syrie et quant à savoir si les objectifs déclarés sont les objectifs réels. A l’origine, l’expédition était largement comprise comme une expédition de lutte contre l’État islamique (EI) après que le groupe eut établi un mini-État sur une grande partie du territoire syrien et irakien. Puis des faucons au sein de l’administration Trump et le président Trump lui-même, dans un cas classique de dérive des objectifs de la mission, ont déclaré que les troupes américaines étaient également en Syrie pour « surveiller l’Iran ». Plus tard, les variantes de la mission étendue ont consisté non seulement à observer l’Iran, mais aussi, grâce à des mécanismes inexpliqués, à amener l’Iran et peut-être la Russie à abandonner leurs positions en Syrie.

Plus récemment, Trump a été soumis à de fortes pressions de la part de diverses parties du spectre politique pour maintenir l’armée américaine en Syrie, en contradiction avec son intention déclarée de quitter le pays et avec ses ordres de redéployer des troupes qui se trouvaient dans la partie nord-est du pays habitée par des Kurdes. Les pressions politiques et les tendances contradictoires obligent à encore moins de clarté qu’auparavant sur ce qu’est ou devrait être la mission des troupes. Trump, qui tente de tirer le plus grand avantage politique possible de l’assassinat du dirigeant de l’EI Abu Bakr al-Baghdadi et proclame qu’en raison de la mort d’al-Baghdadi « le monde est maintenant un endroit beaucoup plus sûr », résiste à l’idée que la mission originale de combattre l’EI en Syrie est toujours nécessaire, au moins de la manière générale et ouverte avec laquelle cette mission fut formulée pour commencer. La mission déclarée a donc évolué une fois de plus, avec une nouvelle raison d’être qui était apparue avant même la suppression d’al-Baghdadi. Certaines troupes américaines restent dans l’est de la Syrie, selon ce raisonnement, pour sécuriser les modestes ressources pétrolières du pays.

Il y a toujours une dimension EI à cette logique, dans la mesure où le groupe, alors qu’il avait son mini-État, a tiré des revenus de l’exploitation des champs pétroliers sous son contrôle. Mais pour cela, il lui fallait le mini-État. Tout scénario dans lequel l’EI exploite à nouveau, plutôt que de simplement endommager, les champs pétroliers syriens présuppose le rétablissement de son califat territorial, ce qui signifie que le monde serait de nouveau confronté à une tâche anti-EI plus grande et plus générale. Dans son statut actuel de mouvement insurgé et de groupe terroriste plutôt que de mini-État, l’EI n’est pas en mesure d’exploiter le pétrole, sauf peut-être de manière extrêmement modeste, à la manière du banditisme nigérian, en exploitant subrepticement un pipeline.

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Source: https://www.les-crises.fr/n-en-faites-pas-une-histoire-de-petrole-par-paul-r-pillar/


Manifestation en Iran : Une répression de plus en plus violente – Par Amnesty International

Friday 6 December 2019 at 05:00

Source : Amnesty International, 05-01-2018

Manifestation en Iran © Getty Image

Les autorités ont confirmé qu’au moins 22 personnes ont été tuées depuis le 28 décembre, date à laquelle des milliers d’Iraniens ont commencé à descendre dans les rues. Une répression qui s’accentue de jour en jour.

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Source: https://www.les-crises.fr/manifestation-en-iran-une-repression-de-plus-en-plus-violente-par-amnesty-international/


Michel GOYA vient de publier un ouvrage important sur les processus d’adaptation des armées[1]. Cet ouvrage fait suite à d’autres, touts aussi important, comme celui qu’il consacra à la mort en opérations militaires[2]. L’ouvrage prolonge le cours qu’il donna à Sciences-Po.

L’auteur, ancien militaire, ancien officier des troupes de Marine, devenu universitaire, était particulièrement bien placé pour ce faire. Il inscrit sa démarche dans une réflexion large sur les processus d’évolution des institutions. La volonté de l’auteur de se décentrer, de sortir de sa zone de confort pour entrer sur des terres moins connues, celles de la sociologie de l’innovation par exemple, doit être salué. Les armées sont des institutions, et elles doivent être appréhendées avec les outils de l’analyse institutionnelle. Ce sont aussi des institutions particulières ; leur domaine d’action implique donc de joindre aux disciplines traditionnelles une connaissance des doctrines, des moyens, et de leur interaction avec les autres disciplines. La couverture de différents champs est l’une des caractéristiques de cet ouvrage. Elle permet des comparaisons de méthodes. Le livre, qui intéressera un très large public, peut se lire à divers niveaux : de celui du citoyen intéressé à celui de l’historien en passant par celui du spécialiste de la chose militaire. C’est pourquoi il doit être salué comme une des lectures qui s’impose aujourd’hui.

 

La naissance de l’armée moderne ?

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Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-comment-les-armees-sadaptent-pour-vaincre-ou-pas-analyse-du-dernier-livre-de-michel-goya-par-jacques-sapir/


Le 12 décembre 1995, Pierre Bourdieu s’adressait aux cheminots grévistes, à la gare de Lyon. Il soutenait les grévistes et apportait, à sa façon, des éléments d’éclairage. Il reste aujourd’hui tout aussi éclairant.

Je suis ici pour dire notre soutien à tous ceux qui luttent, depuis trois semaines, contre la destruction d’une civilisation, associée à l’existence du service public, celle de l’égalité républicaine des droits, droits à l’éducation, à la santé, à la culture, à la recherche, à l’art, et, par-dessus tout, au travail. Je suis ici pour dire que nous comprenons ce mouvement profond, c’est-à-dire à la fois le désespoir et les espoirs qui s’y expriment, et que nous ressentons aussi ; pour dire que nous ne comprenons pas (ou que nous ne comprenons que trop ) ceux qui ne le comprennent pas, tel ce philosophe qui, dans le Journal du Dimanche du 10 décembre, découvre avec stupéfaction “le gouffre entre la compréhension rationnelle du monde”, incarnée selon lui par Juppé – il le dit en toutes lettres -, “et le désir profond des gens”.

Cette opposition entre la vision à long terme de “l’élite” éclairée et les pulsions à courte vue du peuple ou de ses représentants est typique de la pensée réactionnaire de tous les temps et de tous les pays ; mais elle prend aujourd’hui une forme nouvelle, avec la noblesse d’État, qui puise la conviction de sa légitimité dans le titre scolaire et dans l’autorité de la science, économique notamment : pour ces nouveaux gouvernants de droit divin, non seulement la raison et la modernité, mais aussi le mouvement, le changement, sont du côté des gouvernants, ministres, patrons ou “experts”; la déraison et l’archaïsme, l’inertie et le conservatisme du côté du peuple, des syndicats, des intellectuels critiques.

C’est cette certitude technocratique qu’exprime Juppé lorsqu’il s’écrie: “Je veux que la France soit un pays sérieux et un pays heureux”. Ce qui peut se traduire: “Je veux que les gens sérieux, c’est-à-dire les élites, les énarques, ceux qui savent où est le bonheur du peuple, soient en mesure de faire le bonheur du peuple, fut-ce malgré lui, c’est-à-dire contre sa volonté ; en effet, aveuglé par ses désirs dont parlait le philosophe, le peuple ne connaît pas son bonheur – en particulier son bonheur d’être gouverné par des gens qui, comme M. Juppé, connaissent son bonheur mieux que lui”. Voilà comment pensent les technocrates et comment ils entendent la démocratie. Et l’on comprend qu’ils ne comprennent pas que le peuple, au nom duquel ils prétendent gouverner, descende dans la rue – comble d’ingratitude ! – pour s’opposer à eux.

Cette noblesse d’État, qui prêche le dépérissement de l’État et le règne sans partage du marché et du consommateur, substitut commercial du citoyen, a fait main basse sur l’État ; elle a fait du bien public un bien privé, de la chose publique, de la République, sa chose. Ce qui est en jeu, aujourd’hui, c’est la reconquête de la démocratie contre la technocratie : il faut en finir avec la tyrannie des “experts”, style Banque mondiale ou F.M.I., qui imposent sans discussion les verdicts du nouveau Léviathan ( les “marchés financiers” ), et qui n’entendent pas négocier mais “expliquer” ; il faut rompre avec la nouvelle foi en l’inévitabilité historique que professent les théoriciens du libéralisme ; il faut inventer les nouvelles formes d’un travail politique collectif capable de prendre acte des nécessités, économiques notamment ( ce peut être la tache des experts ), mais pour les combattre et, le cas échéant, les neutraliser.

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Source: https://www.les-crises.fr/12-decembre-1995-discours-de-pierre-bourdieu-aux-cheminots-grevistes/


Source : Thinkerview, Youtube, 04-11-2019

Source : Thinkerview, Youtube, 04-11-2019

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Source: https://www.les-crises.fr/europe-dictature-technocratique-costa-gavras-par-thinkerview/


Source : Arrêt sur images, Youtube, 31-10-2019

* Nos remerciements à Arrêt sur images qui permet de diffuser en intégralité cette émission, normalement réservée aux abonnés. Pour vous abonner et voir des émissions exclusives, rendez-vous sur : https://www.arretsurimages.net/?formu…

Partout dans le monde, les peuples se révoltent contre l’ordre établi. Au Chili, en Équateur, au Liban, en Irak et bien sûr en France avec le mouvement des Gilets jaunes, des mouvements populaires de masse contestent le néolibéralisme.

Le 24 octobre 2019, Arrêt sur images avait proposé à Jean-Luc Mélenchon et Romaric Godin de débattre de cette situation et de confronter leurs points de vue sur le sujet. Au cours de la discussion, le député insoumis a présenté la théorie de l’ère du peuple, évoquant notamment les questions de l’augmentation du nombre humain, de la dépendance aux réseaux et de l’urbanisation. Il a expliqué quelles étaient les trois phases (instituante, destituante et constituante) des révolutions citoyennes. La discussion a également porté sur des cas précis : Liban, Chili, Argentine. Mais aussi sur la question du rôle des forces de maintien de l’ordre ou des agences comme le FMI.

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Source: https://www.les-crises.fr/les-revolutions-citoyennes-arret-sur-images-avec-melenchon-et-godin/