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Interdit d’interdire – Rokhaya Diallo et Henri Pena-Ruiz : Qu’est-ce qui divise les antiracistes ?

Wednesday 6 November 2019 at 11:00

Source : Russia Today France, Interdit d’Interdire, 21-10-2019

Frédéric Taddeï reçoit :

– Rokhaya Diallo, journaliste et réalisatrice

– Henri Pena-Ruiz, philosophe

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Le piège des métadonnées – Par Micah Lee

Wednesday 6 November 2019 at 10:30

Source : The Intercept, Micah Lee, 04-08-2019

L’administration Trump mobilise tous les moyens de surveillance de l’État américain contre les lanceurs d’alerte

Illustration : Owen Freeman pour The Intercept

Les fonctionnaires lanceurs d’alerte sont de plus en plus souvent poursuivis en vertu de lois comme l’Espionage Act [la Loi sur l’espionnage], pourtant ce ne sont pas des espions.

Ce sont des Américains moyens et, comme la plupart d’entre nous, ils ont des smartphones dont les données sont automatiquement sauvegardées sur le cloud. Lorsqu’ils veulent échanger avec d’autres, ils envoient un SMS ou appellent au téléphone. Ils utilisent Gmail, partagent des mèmes et discutent politique sur Facebook. Parfois, ils se connectent même à ces comptes à partir de leur ordinateur du lieu de travail.

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Tunisie : Kaïs Saïed, le président du rassemblement ! Par Hedy Belhassine

Wednesday 6 November 2019 at 10:05

Source : Proche & Moyen-Orient, Hedy Belhassine, 21-10-2019

Au café de Bab Souika, une jeune fille fredonne la chanson de Barbara : « regarde, quelque chose a changé, l’air semble plus léger, c’est indéfinissable… » Au terme d’une campagne électorale débridée, rocambolesque, riche en imprévus et en rebondissements, les Tunisiens retrouvent un semblant de sérénité. L’élu était attendu par tous ceux que la lente agonie du pays attristaient. Kaïs Saïed a été plébiscité. Il est l’espoir d’un pays que les errances politiques ont réduit à la mendicité. La démocratie exemplaire post révolutionnaire saluée dans le monde entier n’a pas consolé les Tunisiens de la dégradation constante de leur pouvoir d’achat et de l’enrichissement sans cause d’une mafiocrature rescapée de la dictature. L’élection de Kaïs Saeïd est un rebond salutaire de la révolution de 2011 dont nul ne mesure encore la portée.

La victoire d’une stratégie bien préparée

Avec 72,7%. des suffrages, l’homme providentiel a écrasé son concurrent Nabil Karoui dont les déboires judiciaires orchestrés lui ont valu l’estime des démocrates mais qui n’était pas du niveau. Déjà, le 15 septembre, au premier tour, Kaïs Saïed avait balayé 24 candidats dont des poids lourds de la vie politique sans vraiment faire campagne, en refusant même les subventions et les alliances. Il doit sa victoire à trois symboles forts : le slogan echaarb yourid, le peuple veut (cri de ralliement de la révolution de 2011) ; le geste patriotique du baiser au drapeau ; et l’emblème de la carte de la Tunisie portant le fléau de la justice. Mais aussi et surtout à un discours sobre, spontané, saccadé. Des phrases courtes comme un tweet avec parfois des accents lyriques dans une langue arabe impeccablement maîtrisée sous toutes ses formes. Sa campagne a mis en échec les lobbystes et les agences de communication tunisiennes et étrangères recrutés à grands frais par ses concurrents qui proposaient la lune et des lendemains qui chantent. Raide, austère, avare de confidences, lui n’a rien promis d’autre que de la sueur et de l’équité. Churchill sans cigare, de Gaulle sans képi. « Le peuple qui veut » lui a donné carte blanche pour l’aider à reprendre son propre destin en main. Alors fort de son score du 13 octobre qui rassemble 2,7 millions de Tunisiens, – c’est plus que les voix additionnées aux législatives une semaine auparavant – le nouveau Président de la République est désormais maître du destin du pays. Le 30 octobre prochain lorsqu’il aura prêté serment, la Tunisie qui retient son souffle ne sera plus comme avant.

Une révolution des urnes à point nommé

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Source: https://www.les-crises.fr/tunisie-kais-saied-le-president-du-rassemblement-par-hedy-belhassine/


Les États-Unis sont-ils encore nos alliés ? Par Jean Daspry

Tuesday 5 November 2019 at 07:00

Source : Proche & Moyen-Orient, Jean Daspry, 28-10-2019

LES ÉTATS-UNIS SONT-ILS ENCORE NOS ALLIÉS ? Jean Daspry. Lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI (13 octobre 2019), Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre et président des « Leaders pour la paix » dénonce la politique de Donald Trump au Moyen-Orient. Dans le cadre de l’offensive turque en Syrie contre les populations kurdes, il accuse les États-Unis de ne pas être « dans ce dossier, les alliés de l’Europe ». Poursuivant sur cette voie, il critique l’implication des États-Unis dans le feuilleton du Brexit. « Quand Trump va en Grande-Bretagne pour appeler les Anglais à se libérer des chaînes de l’Europe, De Gaulle aurait crié à l’ingérence ! », s’exclame-t-il. Si elles ne manquent pas de pertinence, les remarques de Jean-Pierre Raffarin manquent à l’évidence de substance tant le champ des désaccords entre les deux rives de l’Atlantique ne cesse de s’élargir au cours des dernières années, des derniers mois. Et, les raisons de ce dissensus ne tiennent pas uniquement à la personnalité imprévisible de Donald Trump. Elles sont inscrites dans l’ADN du peuple à « la destinée manifeste » qui s’estime hors droit tout en exigeant des autres nations qu’elles soient dans le droit. Un retour en arrière s’impose pour comprendre les méandres d’une évolution qui devrait nous conduire à repenser complétement les bases de la relation franco-américaine au XXIe siècle. Faute de quoi, nous nous promettons quelques lendemains difficiles. Ne dit-on pas que gouverner, c’est prévoir ! D’une France gaulliste alliée mais pas alignée, nous sommes passés à une France macronienne méprisée mais alignée.

LA FRANCE ALLIÉE MAIS PAS ALIGNÉE : LES SUCCÈS DU GAULLISME

Avec l’arrivée du général de Gaulle au pouvoir en 1958, la relation franco-américaine évolue dans une toute autre direction que celle empruntée par une Quatrième République encore affaiblie par les conséquences de la Seconde Guerre mondiale. C’est que le premier président de la Cinquième République a eu tout loisir, entre 1940 et 1945, d’apprécier à sa juste valeur la duplicité américaine et sa volonté d’asservir la France diplomatiquement, économiquement, financièrement, militairement, culturellement. Après avoir épongé ses dernières dettes auprès de l’Oncle Sam et s’être débarrassé du fardeau algérien, le général de Gaulle entend se défaire d’une tutelle trop pesante du grand frère américain. Tout en étant un allié fidèle d’une Amérique venue au secours de la France lors des deux conflits mondiaux du XXe siècle (blocus du mur de Berlin, crise des missiles de Cuba…), le général de Gaulle entend montrer son attachement au respect de la souveraineté et l’indépendance de la France. Et, il ne manque pas une occasion d’afficher sa différence. Et les occasions ne manquent pas de faire quelques coups qui irritent à Washington. Rappelons quelques-uns de ses hauts faits d’armes : visite de trois semaines en Amérique latine en 1964, sorte de coup de pied de l’âne aux États-Unis ; reconnaissance de la République populaire de Chine en 1964 ; conférence de presse de 1965 critiquant le rôle de monnaie de change du dollar ; discours de Phnom Penh de 1966 critique de la guerre du Vietnam ; retrait de la France de l’organisation militaire intégrée de l’OTAN en 1966 pour manifester son indépendance stratégique ; visite officielle en URSS de 1966 pour marquer sa volonté de disposer d’une alliance de revers et de s’impliquer dans le dialogue des Supergrands… Le message est on ne peut plus clair, si la France est un allié loyal dans le camp occidental, elle n’en est pas pour autant alignée sur toutes les positions américaines, surtout les plus baroques. La servitude volontaire n’est pas la tasse de thé du général de Gaulle. Mais, les vieux démons ne sont jamais lointains. Même dormants, ils n’en sont pas moins prêts à refaire surface à la moindre occasion. C’est ce qui va être le cas en ce début du XXIe siècle avec le « coup de génie » d’un certain Nicolas Sarkozy.

LA FRANCE MÉPRISÉE MAIS ALIGNÉE : LES ÉCHECS DU MACRONISME

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Source: https://www.les-crises.fr/les-etats-unis-sont-ils-encore-nos-allies-par-jean-daspry/


Interdit d’interdire – Faut-il rendre les oeuvres d’art à l’Afrique ?

Tuesday 5 November 2019 at 06:00

Source : Russia Today France, Interdit d’interdire, 09-10-2019

Frédéric Taddeï reçoit :

– Didier Rykner, historien de l’art

– Emmanuel Pierrat, avocat

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Source: https://www.les-crises.fr/interdit-d-interdire-faut-il-rendre-les-oeuvres-d-art-a-l-afrique/


Noam Chomsky : dans l’objectif de 2020 Trump tente d’exploiter la tension avec l’Iran. Par David Barsamian

Monday 4 November 2019 at 07:10

Source : Truthout, David Barsami, 18-07-2019

Le président Trump s’entretient avec le secrétaire d’État Mike Pompeo lors d’une réunion de cabinet à la Maison-Blanche, le 16 juillet 2019, à Washington.
CHIP SOMODEVILLA / GETTY IMAGES

David Barsamian pour Truthout

Le 18 juillet 2019

« Toute préoccupation relative aux armes de destruction massive iraniennes pourrait être soulagée par le simple fait de répondre favorablement à l’appel de l’Iran à faire du Proche-Orient une zone exempte d’armes de destruction massive », déclare Noam Chomsky, légende de la vie intellectuelle publique. Cependant, l’administration Trump persiste à inventer des histoires selon lesquelles l’Iran menacerait de « conquérir le monde », et ce dans l’intention de faire monter la tension, renforçant par là même la position de Trump en vue du scrutin de 2020.

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Source: https://www.les-crises.fr/noam-chomsky-dans-l-objectif-de-2020-trump-tente-d-exploiter-la-tension-avec-l-iran-par-david-barsamian/


Quartier Libre – Raphael Kempf: « Des anarchistes aux Gilets jaunes: le retour des lois scélérates »

Monday 4 November 2019 at 06:30

Source : Quartier Libre, Youtube,

Aude Lancelin reçoit Raphaël Kempf, avocat au barreau de Paris, connu pour sa défense des manifestants et des gilets jaunes victimes de la répression menée par l’Etat.

Source : Quartier Libre, Youtube, 04-10-2019

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Source: https://www.les-crises.fr/quartier-libre-raphael-kempf-des-anarchistes-aux-gilets-jaunes-le-retour-des-lois-scelerates/


Le véritable Big Brother

Monday 4 November 2019 at 06:00

Source : Consortium News, Eric Zuesse,

C’est un monde de milliardaires et le plus grand d’entre eux est au cœur de l’action, comme l’explique Eric Zuesse.

Jeff Bezos possède le Washington Post, qui donne le ton aux médias d’information américains en matière de soutien et de promotion presque totale du néoconservatisme, de l’impérialisme américain et des guerres. Cela embrasse les sanctions, les coups d’État et les invasions militaires contre des pays sur lesquels les milliardaires américains veulent exercer une mainmise qu’ils n’ont pas encore – tels que le Venezuela, la Syrie, l’Iran, la Russie, la Libye ou la Chine.

Il s’agit de guerres d’agression contre des pays qui n’ont jamais agressé les États-Unis. Elles ne sont absolument pas défensives, bien au contraire. Ce n’est pas nécessairement la guerre sans fin (même Hitler n’avait pas ça dans ses plans), mais la guerre jusqu’à ce que la planète entière soit passée sous le contrôle du gouvernement des États-Unis, lui-même dirigé par les milliardaires américains qui financent le néoconservatisme et de l’impérialisme – au sein des deux principaux partis politiques américains, des think tanks, des journaux, des réseaux TV, etc.

Bezos joue un rôle crucial dans le néoconservatisme, depuis que, lors de la réunion du groupe Bilderberg du 6 au 9 juin 2013, il a passé un accord avec Donald Graham, propriétaire du Washington Post, pour lui acheter son journal moyennant 250 millions de dollars. Bezos avait déjà négocié en mars de la même année, avec John Brennan, le directeur néoconservateur de la CIA, un contrat de 600 millions de dollars sur dix ans pour des services informatiques décentralisés (cloud computing), contrat qui a transformé Amazon Corporation, qui au départ était en déficit constant, en une entreprise assurée de faire des profits.

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Source: https://www.les-crises.fr/le-veritable-big-brother/


Clientélisme politique et Moyen-Orient : Agnès Levallois et Pierre Conesa – Par Thinkerview

Sunday 3 November 2019 at 07:00

Source : Thinkerview, Youtube, 24-10-2019

Source : Thinkerview, Youtube, 24-10-2019

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Source: https://www.les-crises.fr/clientelisme-politique-et-moyen-orient-agnes-levallois-et-pierre-conesa-par-thinkerview/


Salaire | Travail, Salaire, Profit – Épisode 3 et 4 | ARTE

Sunday 3 November 2019 at 06:00

Source : Arte, Youtube, 15-10-2019

“Le salaire est la somme d’argent que le capitaliste paie pour un temps de travail déterminé ou pour la fourniture d’un travail déterminé.” Cette citation de Marx est-elle encore valide aujourd’hui ? Après le salaire de subsistance et le salaire différé, l’on voit apparaître les notions de revenu universel ou de salaire à vie. Serait-ce la fin du salariat ?

Sommaire de l’épisode :

00:34 La transformation du salaire : de l’enveloppe hebdomadaire à la fiche de paie mensuelle

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Source: https://www.les-crises.fr/salaire-travail-salaire-profit-episode-3-et-4-arte/