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Edward Snowden sur la vie privée à l’ère de Trump et de Facebook

Sunday 17 June 2018 at 06:00

Source : The Intercept, Deconstructed, 25-05-2018

Photo : Kayana Szymczak/The New York Times/Redux

Il y a exactement cinq ans cette semaine, Edward Snowden s’est enfui à Hong Kong avec une foule de documents détaillant l’étendue des programmes de surveillance mondiale et nationale du gouvernement américain. Il s’est rapidement retrouvé en exil en Russie et a été surnommé « l’homme le plus recherché au monde ». Les fuites de Snowden ont déclenché une nouvelle controverse sur la confidentialité numérique et la sécurité en ligne, et ont même mené à des changements dans la loi. Mais plus récemment, nous avons découvert que ce n’est pas seulement le gros appareil gouvernemental qui représente une menace massive pour notre vie privée, mais aussi la Big Tech. Facebook, par exemple, a divulgué des données de près de 87 millions d’utilisateurs de Facebook à un chercheur qui travaillait à Cambridge Analytica, un cabinet de conseil politique engagé par la campagne Trump. Les questions de surveillance, de protection de la vie privée et de collecte massive de données, non seulement par le gouvernement, mais aussi par les grandes entreprises de technologie comme Facebook, sont toujours aussi présentes et controversées. Dans le numéro de Deconstructed de cette semaine, Edward Snowden se joint à Mehdi Hasan de Moscou pour discuter de la surveillance, des outils qui peuvent aider à protéger la vie privée des gens et de la probabilité d’un accord Trump-Poutine pour l’extrader.

Edward Snowden : Il y aura toujours des conséquences pour les opposants au pouvoir. Ce sont des risques qui valent la peine d’être pris. Quand je me suis présenté au public, cela a changé la loi.

[Interlude musical.]

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[Vidéo] Sarkozy, corruption, assassinat et affaire d’état ? Fabrice Arfi (Mediapart), par Thinkerview

Sunday 17 June 2018 at 05:30

Source : Thinkerview, Youtube, 23-05-2018

Interview de Fabrice Arfi, journaliste, en direct le 23/05/2018 à 19h.

Source : Thinkerview, Youtube, 23-05-2018

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Revue de presse du 17/06/2018

Sunday 17 June 2018 at 05:10

La revue avec un regard appuyé sur la “démocratie” chez les autres vue sous l’angle américano-occidental. Merci à nos contributeurs pour leurs articles.

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Source: https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-17-06-2018/


Pourquoi l’Équateur veut-il faire sortir Assange de son ambassade à Londres ?

Saturday 16 June 2018 at 06:00

Source : The Guardian, Dan Collyns, 15-05-2018

Superfans, bonbons à sucer et Pamela Anderson : six ans d’espionnage sur Julian Assange – vidéo explicative

L’Équateur a-t-il perdu patience avec Julian Assange ?

Oui. Carrément.

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Les USA et le destin du monde

Saturday 16 June 2018 at 05:30

Source : Inder Comar, Consortium News, 23-05-2018

Ce n’est pas une exagération d’affirmer que le destin de la civilisation dépend des Américains selon leur façon de déterminer comment ils veulent interagir avec le reste du monde, affirme Inder Comar dans son commentaire.

Les Américains devraient être plus honnêtes au sujet leur l’interventionnisme militaire. Il devrait y avoir un débat sérieux à ce sujet. A la place, il semble que l’on ait trois camps retranchés en matière de politique extérieure qui ne se parlent jamais.

Le premier est constitué d’impérialistes avoués. Ils sont faciles à identifier, car ils sont au pouvoir. Ce sont ceux pour qui il n’y a pas de mauvaise guerre. Ils ont probablement poussé les États-Unis à s’engager dans un changement de régime en Iran. Et actuellement, ils mènent une approche parfaitement agressive pour tenter de diminuer les tensions avec une Corée du Nord équipée d’armes atomiques – une approche qui connaîtra des retours de flamme au final. Ce camp serait aussi le plus fort pour nier qu’il y ait un impérialisme américain.

Il y a aussi des gens qui rejettent totalement l’impérialisme sous toutes ses formes, commis par tout pays, comme une grave erreur. Ce sont des gens qui reconnaissent qu’il doit y avoir d’autres valeurs qui lient les relations entre les nations – des valeurs partagées sur le droit international, les droits de l’homme, la liberté individuelle et spirituelle, et la loi.

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[RussEurope-en-Exil] Union européenne : précis de décomposition, par Jacques Sapir

Saturday 16 June 2018 at 05:00

L’Union européenne se décompose. C’est devenu désormais une évidence, que masquent de plus en plus mal les discours convenus et les faux-semblants de ceux que nos amis italiens appellent les « euroïnomanes ». Ce processus est cependant entré depuis la semaine dernière dans une nouvelle phase d’accélération.

Très clairement, la question des « migrants » a joué le rôle d’un détonateur. Sur cette question en effet s’additionnent les erreurs politiques, un discours à prétention moral qui s’avère être fondamentalement moraliste, et une énorme hypocrisie. On en a la preuve avec le cas de l’Aquarius, ce navire affrété par l’ONG SOS-Méditerranée. Mais, sur le fond, cette question n’a fait que refléter les contradictions internes qui se sont développées au sein de l’UE. En un sens, on peut penser que rares sont les dirigeants qui « croient » encore en une UE fédérale, même si notre Président s’accroche désespérément à ce mythe.

Cette décomposition pourrait aboutir à un éclatement de l’UE comme elle pourrait aboutir aussi à son évolution vers une zone commerciale aux règles souples, organisée autour divers cercles de coopération eux-mêmes définis par des projets et des problèmes particuliers. Mais, quelle que soit la solution, et même si le nom « Union européenne » devait survivre, il est clair que ce ne serait plus l’UE telle qu’elle fut imaginée et mise en pratique depuis le vote du fameux « Acte Unique » de 1986. Nous assistons à l’écroulement de plus de trente années de « construction européenne « .

Un processus bien engagé

Un bilan des transformations, anciennes et récentes, qui se sont imposées dans l’Union européenne s’impose. On a beaucoup parlé du Brexit, voté en 2016, et que d’aucuns espéraient voir inverser par on ne sait quel traquenard « légal ». Or, avec le vote récent au Parlement britannique, un vote où Mme Theresa May l’a emporté sur la fraction pro-UE[1], il est clair que le BREXIT aura bien lieu. Le Royaume-Uni quittera donc bien l’Union européenne (UE) le 29 mars 2019 à minuit heure du continent[2]. Les élections générales qui se sont déroulées depuis ces 6 derniers mois, en Hongrie, en Autriche, mais aussi en Slovénie, ont porté (ou maintenu) au pouvoir des gouvernements clairement eurosceptiques, souhaitant une modification profonde des règles de l’UE. Enfin, l’action de l’actuel gouvernement italien, résultant d’une coalition entre le M5S et la Lega a aboutit à mettre en lumière ces contradiction.

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Source: https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-union-europeenne-precis-de-decomposition-par-jacques-sapir/


Affaire Aéroports de Paris: le Parquet national financier saisi. Par Étienne Girard

Saturday 16 June 2018 at 04:30

Source : Marianne, Étienne Girard, 02/04/2018

ADP, qui gère notamment l’aéroport de Roissy, se retrouve dans la tourmente judiciaire

Andrei Parouby à Paris et à Londres…

Friday 15 June 2018 at 06:00

Des nouvelles d’Andrei Parouby – grace à son compte Twitter…

I. Les réactions à notre alerte

Pour mémoire, nous avons alerté la semaine passée dans ce billet sur la venue à Paris d’Andrei Parouby, certes Président du Parlement Ukrainien, mais surtout Cofondateur du Parti Social-Nationaliste d’Ukraine, connu pour son nationalisme virulent, ses sorties antisémites et sa proximité avec les réseaux néonazis et fascistes ukrainiens.

Grace à votre mobilisation, l’alerte a beaucoup tournée, et il y a eu quelques réactions politiques :

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Source: https://www.les-crises.fr/andrei-parouby-a-paris-et-a-londres/


Source : Nicolas J.S. Davies, Consortium News, 03-04-2018

Le nombre de victimes des guerres américaines depuis le 11 septembre 2001 n’a pratiquement pas été comptabilisé, mais faire face à l’ampleur réelle des crimes commis demeure un impératif moral, politique et juridique urgent, affirme Nicolas J.S. Davies, dans la deuxième partie de sa publication.

Dans la première partie de cette publication, j’ai estimé qu’environ 2,4 millions d’Irakiens ont été tués à la suite de l’invasion illégale de leur pays par les États-Unis et le Royaume-Uni en 2003. J’en viens maintenant aux morts afghanes et pakistanaises dans le cadre de l’intervention américaine en Afghanistan en 2001. Dans la troisième partie, j’examinerai les morts causées par la guerre en Libye, en Somalie, en Syrie et au Yémen. Selon Le général américain à la retraite Tommy Franks, qui a mené la guerre contre les talibans en Afghanistan en réaction aux attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement américain ne tient pas les comptes des pertes civiles qu’il cause. « Vous savez, on ne compte pas les cadavres », a dit Franks un jour. Il est difficile de savoir si c’est vrai ou si un décompte est caché.

Comme je l’ai expliqué dans la première partie, les États-Unis ont tenté de justifier leurs invasions en Afghanistan et dans plusieurs autres pays comme une réponse légitime aux crimes terroristes du 11 septembre. Mais les États-Unis n’ont pas été attaqués par un autre pays ce jour-là, et aucun crime, aussi horrible soit-il, ne peut justifier 16 années de guerre – et ce n’est pas fini – contre une succession de pays qui n’ont pas attaqué les États-Unis.

Comme l’ancien procureur de Nuremberg Benjamin Ferencz l’a dit à la NPR [National Public Radio], une semaine après les attentats terroristes, il s’agissait de crimes contre l’humanité, mais pas de « crimes de guerre », car les États-Unis n’étaient pas en guerre. « Ce n’est jamais une réponse légitime de punir les gens qui ne sont pas responsables du mal fait », a expliqué Ferencz. « Nous devons faire une distinction entre punir les coupables et punir les autres. Si vous vous contentez de riposter massivement en bombardant l’Afghanistan, disons, ou les talibans, vous tuerez beaucoup de gens qui ne croient pas en ce qui s’est passé, qui n’approuvent pas ce qui s’est passé ».

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Source: https://www.les-crises.fr/combien-de-personnes-les-etats-unis-ont-ils-tuees-dans-les-guerres-qui-ont-suivi-les-attentats-du-11-septembre-partie-2-afghanistan-et-pakistan-par-nicolas-j-s-davies-2/


Source : Proche & Moyen-Orient, Jean Daspry, 16-04-2018

Le ménage de printemps se poursuit à la Maison-Blanche. Le taux de rotation (« turn over ») des conseillers du président américain n’a jamais été aussi élevé sans parler des secrétaires d’État (l’équivalent de nos ministres). Deux pièces centrales du dispositif sont écartées d’un seul clic par un tweet vengeur de l’homme à la mèche blonde. Les mous sont illico remplacés par des durs. Le secrétaire d’État (notre ministre des Affaires étrangères), le modéré Rex Tillerson est renvoyé à ses chères études, remplacé par l’ancien chef de la CIA, le faucon Mike Pompeo, le 13 mars 2018.

Le conseiller à la sécurité nationale, le général Mc Master dont l’intervention à la conférence sur la sécurité du Munich n’a pas été appréciée en haut lieu pour sa déviance doctrinale, est remplacé par un vieux cheval de retour, bien connu pour ses foucades, John Bolton le 22 mars 2018 (prise de fonctions le 9 avril 2018). Il est le troisième à occuper ce poste en quatorze mois1. Quelques indispensables rappels s’imposent pour mieux dresser le portrait de l’homme à la moustache, du provocateur à la réputation sulfureuse. C’est bien connu, le passé éclaire le présent et parfois l’avenir. Ce que certaines élites intelligentes auraient trop tendance à oublier lorsqu’il s’agit de l’Amérique du nord et de ses dirigeants et autres hauts fonctionnaires.

UN FAUCON PARMI LES FAUCONS

Avocat de formation, John Bolton est un faucon assumé (« un faucon parmi les faucons »), un belliciste bon teint, un interventionniste déclaré, un défenseur vibrant des guerres préventives contre, l’Irak hier et contre l’Iran et la Corée du nord, éventuellement demain2. Dans ses Mémoires, Capituler n’est pas une option, John Bolton raille « les carriéristes du Département d’État formés à l’accommodement et au compromis avec les étrangers plutôt qu’à la défense des agressive des intérêts des Américains »3.

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Source: https://www.les-crises.fr/de-quoi-john-bolton-est-il-le-nom-par-jean-daspry/