Ce site n'est pas le site officiel.
C'est un blog automatisé qui réplique les articles automatiquement
Source: https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-28012018/
Source : Un odieux connard, 18-01-2018
L’Art, c’est bien.
Attention, hein, je parle de l’Art en général, pas de Maître Gims, soyons sérieux. Mais tout de même : l’Art, c’est par exemple la possibilité d’écrire, de dessiner, de sculpter, filmer ou que sais-je encore, ce qui vous passe par la tête. Comme espace de liberté, on fait difficilement mieux. Par ailleurs, l’Art, c’est une pensée : quand vous lisez la page de n’importe quel livre, il faut se rappeler que chaque phrase était, à un moment donné, dans la tête de quelqu’un qui si ça se trouve est mort il y a des siècles (bon, si vous lisez juste Public, on va oublier). C’est un peu l’archéologie de la pensée.
Mais visiblement, c’est mal. Mal, parce que les gens d’il y a plusieurs siècles ne pensaient pas comme nous, aussi ces derniers temps commence-t-on à vouloir effacer ou réécrire les traces de ce passé qui n’est pas toujours glorieux. Alors, altérer des œuvres d’art au motif qu’elles ne nous correspondent plus, ne serait-ce pas un tout petit peu dangereux ?
On en parle avec une image :
Source: https://www.les-crises.fr/le-totalitarisme-tranquille/
Source : Critique de la Raison Européenne, Youtube, 23-01-2018
Conférence de Coralie Delaume et Jacques Sapir à Sciences Po Lille le 19 janvier 2018, introduite par Etienne Campion, président de CRE Sciences Po Lille. Coralie Delaume est essayiste et auteur de “Europe, les États désunis” et “La fin de l’Union européenne”.
Elle traite de l’impasse actuelle dans laquelle a menée la construction européenne. Jacques Sapir est économiste et auteur de nombreux livres dont “Souveraineté Démocratie, Laïcité”.
Il traite de l’origine du concept de souveraineté, de ses modalités d’application, et de son rapport intrinsèque au politique.
Source : The Progressive, Jud Lounsbury, 12-12-2017
Un des slogans préférés de l’ancien sénateur américain Paul Wellstone était : « I’m for the little fellers, not the Rockefellers » [« Je suis pour les petites gens, pas pour les Rockefeller », jeu de mots basé sur « fellows » ou « fellers », les « gens », NdT]
Quand Donald Trump était candidat à la présidence, son slogan aurait pu être : « I’m the Rockefeller for the little feller » (« Je suis le Rockefeller pour les petites gens »). À chaque occasion en effet, il vantait les vertus d’être le gros chat qui change régulièrement de camp pour travailler pour les souris.
« L’autofinancement signifie que je ne suis pas contrôlé par l’industrie pharmaceutique. Je ne suis pas contrôlé par les compagnies d’exploitation forestière. Je ne suis pas contrôlé par les compagnies d’électricité. Je ne suis contrôlé par personne, je suis contrôlé par vous », a dit Trump lors d’un rassemblement de 2016 à Racine, dans le Wisconsin.
En ce qui concerne tous les autres, Trump disait : « Ce sont des politiciens. Ils obtiennent leur argent des entreprises… Ils ne feront pas ce qu’il faut pour vous. Ils vont faire ce qu’il faut pour le pays [étranger] et ce qu’il faut faire pour leur lobbyiste et ce qu’il faut faire pour leurs intérêts particuliers, mais ils ne feront pas ce qu’il faut pour vous. Croyez-moi. Je le sais. »
Source : Youtube, Thinkerview, 11-01-2018
Interview de Philippe Bihouix, ingénieur centralien, membre de l’Institut Momentum et auteur de l’ “L’Âge des low tech : vers une civilisation techniquement soutenable”.
Source : Youtube, Thinkerview, 11-01-2018
Source: https://www.les-crises.fr/video-philippe-bihouix-le-mensonge-de-la-croissance-verte-par-thinkerview/
Source : Le Temps, Richard Werly, 17-01-2018
OPINION. Régulièrement mis en cause depuis la sortie de son livre «Est-il permis de critiquer Israël?», le chercheur français Pascal Boniface publie ces jours-ci «Antisémite». L’occasion de s’interroger sur ce que les médias français peuvent encore dire. Ou ne pas dire
Pascal Boniface est un intellectuel blessé. Spécialiste reconnu de géopolitique, fin connaisseur des arcanes du sport et de la diplomatie mais aussi biographe du chanteur Léo Ferré, le fondateur-directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) a choisi de répondre point par point à ceux qui l’accusent de faire le lit de l’antisémitisme. Dans son livre intitulé Antisémite (Ed. Max Milo), l’intéressé dresse donc son propre plaidoyer. «Je suis accusé de ce que je considère comme détestable au plus haut point», prévient-il dès les premières lignes. Avant d’ouvrir le débat: «Comment en est-on arrivé là? Comment un universitaire français peut-il être accusé, en dehors de toute réalité, d’un des plus graves crimes intellectuels ?»
Je n’ai pas pu m’empêcher, en lisant cet essai très fourni conçu largement comme une réponse aux journalistes et aux médias en général, d’y voir un appel au secours. A l’évidence, Pascal Boniface a perdu pied dans le paysage médiatique et universitaire français d’aujourd’hui dont le sociologue Michel Wieviorka, auteur d’une magistrale préface, dénonce sans ambages une certaine perte de repères et d’équilibre. «Oui, le débat dérape constamment en France dès qu’il est question de l’islam, des musulmans et des juifs», explique l’éminent sociologue dont les grands-parents furent déportés à Auschwitz et y trouvèrent la mort. «Oui, poursuit-il, une violence verbale, particulièrement menaçante, peut s’exercer en France sur quiconque s’autorise à critiquer la politique de l’Etat hébreu. Oui, des acteurs engagés, intellectuels, militants, responsables institutionnels juifs, préfèrent la disqualification de l’adversaire politique au débat argumenté.»
Un bien bel exemple de vraie géopolitique, terrain de confrontations. Et une nouvelle illustration de La France Soumise.
Ici l’ancien Vice-Président américain (2009-2017) explique comment il a fait pression sur les gouvernements européens pour qu’ils sanctionnent la Russie, ce qu’ils ne voulaient pas faire en raison des conséquences néfastes sur leurs économies…
Hélas, obnubilés par des “Fake news” dérisoires, les médias n’ont guerre eu de temps à consacrer à ceci. Une importante “No news” de plus…
Nous avons passé tellement de temps — vous le savez [Richard Haass, Président du think-tank CFR], parce que je suis venu vous demander conseil — nous avons passé tellement de temps au téléphone pour nous assurer que personne, à l’époque, de Hollande à Renzi, ne laisse tomber. Ils ne voulaient aucune forme de sanction contre la Russie. Cela avait des répercussions sur eux. En gros, [je leur ai dit que ] c’était : « Vous devez le faire ! » Et, Dieu merci, Merkel était assez forte à l’époque pour nous soutenir, à contrecœur, elle n’aimait pas cela non plus. […]
Fin du colloque sur le Financement du Terrorisme organisé par le CF2R, le 5 décembre 2017.
Table ronde avec Hervé Juvin et Bernard Squarcini : Lutte contre le blanchiment
Nous espérons que vous avez apprécié ces analyses…
Source : Youtube, 05-12-2017
Source: https://www.les-crises.fr/video-les-crises-financement-du-terrorisme-44-lutte-contre-le-blanchiment/
Billet invité
Pour la première fois depuis plus de trois ans, le prix du pétrole a dépassé les 65$ le baril (sur l’indice WTI) et les 70$ sur l’indice BRENT. Ces pics sont symboliques. Ils expriment la remontée constante du prix du pétrole que l’on observe depuis la conclusion des accords entre les pays de l’OPEP et les pays du groupe « non-OPEP » à la fin de 2016[1]. Ces accords, que l’on annonçait fragiles se sont révélés stables. Ils ont conduit à une baisse significative des stocks de pétrole, baisse qui a son tour s’est traduite par une hausse du prix. Mais, cette évolution devrait être appelée à se stabiliser d’ici les 6 prochains mois. On doit ainsi prendre avec précautions les annonces faites par certains fonds d’investissement qui pensent que le pétrole pourrait atteindre ou dépasser les 80$ le baril[2]. Il faut dès lors revenir sur l’historique de ce phénomène pour comprendre la nature des problèmes posés. Cette historique fait alors apparaître l’un des changements majeurs de ces dernières années : le rôle de pivot incontournable de ce marché occupé désormais par la Russie.
Source : Ouest France, Anne-Francoise Hivert, 22/01/2018
Intitulé Si la guerre arrive, le petit manuel du parfait résistant suédois n’avait pas été réédité depuis 1987. Trente ans plus tard, l’optimisme, né de la dislocation de l’Union soviétique et la fin de la Guerre froide, n’est plus de mise.
Dans un récent rapport, le comité gouvernemental de Défense estime « qu’une attaque armée contre la Suède ne peut être exclue ». Sans nommer la Russie.
Le gouvernement a donc décidé de réimprimer Si la guerre arrive, dans une version revue et corrigée. Le livret sera distribué à 4,7 millions de Suédois d’ici à juin. Son élaboration a été confiée à l’Agence de la protection civile, également en charge de remettre au goût du jour la « défense totale » du pays : une stratégie, abandonnée dans les années 1990, qui implique la coordination des ressources civiles et militaires.