Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018
Interview de Bernard Friot, sociologue et économiste, en direct à 15h le 13/03/2018.
Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018
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Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018
Interview de Bernard Friot, sociologue et économiste, en direct à 15h le 13/03/2018.
Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018
Source : The Intercept, Sam Biddle, 20-03-2018
Les paranoïaques d’Internet attirés par Bitcoin se sont longtemps livrés à des fantasmes d’espions américains subvertissant la monnaie numérique en plein essor et controversée. De plus en plus populaire parmi les spéculateurs qui veulent s’enrichir rapidement, Bitcoin a commencé comme un noble projet visant à rendre les transactions financières publiques et mathématiquement vérifiables – tout en offrant de la discrétion. Selon certains des féroces partisans de Bitcoin, les gouvernements, qui ont un intérêt manifeste à contrôler la façon dont l’argent se déplace, allaient naturellement essayer de contrecarrer l’ordre financier techno-libertaire à venir.
Il s’avère que les théoriciens du complot avaient du flair. Des documents classifiés fournis par le lanceur d’alerte Edward Snowden montrent que la National Security Agency a effectivement travaillé en urgence pour cibler les utilisateurs de Bitcoin dans le monde entier – et a utilisé au moins une source mystérieuse d’informations pour « aider à traquer les expéditeurs et les destinataires de bitcoins », selon un passage top secret figurant dans un rapport interne de la NSA, datant de mars 2013. Selon d’autres documents, la source de données semble avoir tiré parti de la capacité de la NSA à récolter et analyser le trafic internet brut mondial tout en exploitant aussi un logiciel, dont le nom n’est pas mentionné, qui prétendait offrir l’anonymat aux utilisateurs.
L’agence cherchait également à surveiller certaines crypto-monnaies rivales, mais « Bitcoin est la priorité numéro 1 », peut-on lire dans un rapport interne de la NSA du 15 mars 2013.
Source : Dennis J. Bernstein, Consortium News, 20-03-2018
Les appels de Trump pour une nouvelle « Force spatiale » pourraient accroître le potentiel d’un affrontement armé entre les États-Unis et des puissances étrangères, comme la Chine et la Russie, rapporte Dennis J. Bernstein dans cet entretien avec le militant pour la paix Bruce Gagnon.
Dans les quelques moments de rêve entre ses différents drames personnels et drames d’État, Trump a fait planer l’idée de créer une « Force spatiale » pour mener des guerres dans l’espace. Bruce Gagnon est inquiet. Jeudi dernier, le 15 mars, Gagnon, coordonnateur du Réseau mondial contre les armes et l’énergie nucléaire dans l’espace, a déclaré : « L’industrie aérospatiale voit une occasion d’accroître sa capacité de profit par la création d’une nouvelle “Force spatiale” qui dirigerait le programme militaire américain en expansion dans l’espace. »
« L’industrie », poursuit M. Gagnon, « a poussé le Congrès à autoriser ce nouveau service distinct, tandis que les dirigeants de la Force aérienne se sont opposés au plan en prétendant qu’il augmenterait l’inefficacité et la bureaucratie. Dans la récente NDAA [National Defense Authorization Act], il a été demandé à l’Air Force de se concentrer davantage sur l’espace et d’en faire une priorité plus élevée ».
Le point des vue des trotskistes américains…
Source : World Socialist Web Site, Patrick Martin, 07-03-2018
Introduction
Un nombre très important d’anciens agents du renseignement ou d’agents opérationnels militaires de la CIA, du Pentagone, du National Security Council et du Département d’État visent une nomination comme candidats démocrates au Congrès lors des élections à mi-mandat de 2018. L’afflux potentiel de personnel militaire et du renseignement militaire dans la législature n’a pas de précédent dans l’histoire politique américaine.
Si les démocrates obtiennent une majorité à la Chambre des Représentants le 6 novembre, comme largement prévisible, les candidats provenant de l’appareil militaire et du renseignement militaire atteindront jusqu’à la moitié des nouveaux membres démocrates du Congrès. Ils détiendront l’équilibre du pouvoir dans la chambre basse du Congrès.
Source: https://www.les-crises.fr/les-democrates-de-la-cia-par-patrick-martin/
Source : ACRIMED, Pauline Perrenot, 10-04-2018
La « Marche du retour » qui a rassemblé 30 000 Gazaouis à son premier jour, le vendredi 30 mars, a été réprimée dans le sang par l’armée israélienne : ses soldats ont assassiné 22 Palestiniens tandis que les blessés par balles se comptent par milliers. Ce massacre a fait l’objet d’un traitement médiatique qui, quoiqu’abondant, et parfois pertinent, n’en souffre pas moins des travers malheureusement « classiques » dès lors que les médias s’intéressent à la question palestinienne en général, et à la violence de l’État d’Israël en particulier. Si nous ne prétendons pas à l’exhaustivité, nous revenons ici sur un certain nombre de biais qui s’inscrivent dans une double continuité : celle d’une information internationale de plus en plus bâclée par les médias dominants d’une part [1] et celle, plus spécifique, de la couverture médiatique du conflit opposant les Palestiniens à Israël [2].
Depuis que nous avons écrit ces lignes, la manifestation du vendredi 6 avril a été réprimée dans le sang : les soldats israéliens ont tué dix Palestiniens et blessé par balles des centaines d’entre eux. Force est de constater que les biais médiatiques identifiés dans cet article sont toujours de mise.
Source: https://www.les-crises.fr/massacre-a-gaza-contorsions-cyniques-dans-les-medias-francais-par-acrimed/
Source : Thinkerview, Youtube, 30-03-2018
Interview de Benjamin Bayart et d’Alexis Fitzjean O Cobhthaigh, Les Exégètes Amateurs (@lesExegetes), en direct à 20h15 le 30/03/2018.
Source : Thinkerview, Youtube, 30-03-2018
Source: https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-29-04-2018/
Source : Nat Parry, Consortium News, 30-03-2018
Les États-Unis ont de longue date eu une relation d’amour-haine avec les normes du droit international, menant d’un côté l’établissement des principaux accords sur les droits de l’homme tout en balayant d’un revers de la main les plaintes contre leurs propres abus, explique Nat Parry.
L’exceptionnalisme américain – idée selon laquelle les États-Unis sont uniques parmi les nations en raison de leur tradition en faveur de la démocratie et de la liberté – a toujours été le fondement de sa prétention au leadership moral. En tant que pays fondé sur des idéaux qui sont aujourd’hui reconnus dans le monde entier comme les principes fondamentaux du droit international, les États-Unis utilisent cette image de champion des droits de l’homme pour rallier les nations à leur cause et affirmer son hégémonie sur le monde.
Quelles que soient leurs convictions politiques, les Américains citent avec fierté l’influence sur le monde entier des principes fondateurs établis dans la Déclaration d’Indépendance et dans le Bill of Rights, avec 80 % d’entre eux s’accordant sur le fait que « l’histoire et la constitution des États-Unis… en font le plus grand pays au monde » selon un sondage Gallup fait en 2010. Respecter ces principes au niveau international a de longue date été considéré comme une nécessité quant à la crédibilité et au leadership des États-Unis sur la scène mondiale.
Source : Thinkerview, Youtube, 23-02-2018
Interview de Pablo Servigne en direct le 23/02/2018 à 19h.
Source : Thinkerview, Youtube, 23-02-2018
Source: https://www.les-crises.fr/video-pablo-servigne-effondrement-de-la-civilisation-par-thinkerview/
Source : Télérama, Alain Deneault, Michel Abescat, 07/12/2015
Propos recueillis par Michel Abescat